Le régime drastique qu'impose la situation de General Motors passe aujourd'hui par l'ablation d'Isuzu. Après Subaru, Suzuki, GMAC c'est "l'ami de 35 ans" Isuzu qui est libéré contre monnaie sonnante et salvatrice. La cession de ses parts (7.9%) devrait lui rapporter 300 millions de dollars.
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Le régime drastique qu'impose la situation de General Motors passe aujourd'hui par l'ablation d'Isuzu. Après Subaru, Suzuki, GMAC c'est "l'ami de 35 ans" Isuzu qui est libéré contre monnaie sonnante et salvatrice. La cession de ses parts (7.9%) devrait lui rapporter 300 millions de dollars.
On remarquera que le désengagement s'est opéré essentiellement sur les partenaires japonais. Isuzu qui fabrique des moteurs (et des utilitaires) devrait poursuivre sa collaboration avec GM notamment pour la fourniture de moteurs Diesel.
La liaison a débuté en 1971 avec la fourniture mutuelle de camions, d'utilitaires et de moteurs. Le partenariat avec GM amenait 1.54 milliards de dollars de recette pour Isuzu, soit 1/5e du chiffre d'affaire du japonais.
Les repreneurs au nombre de 3 sont Mitsubishi qui vend déjà des véhicules Isuzu en Thailande, Itochu qui fait de même en Amérique du Nord et le dernier est une Banque, Mizuho Corp. Bank.
Même si les dirigeants japonais remercie GM de les avoir ouvert au monde, il va devenir urgent pour survivre de trouver un nouveau partenariat de poids avec un constructeur majeur de camions.
Le régime drastique qu'impose la situation de General Motors passe aujourd'hui par l'ablation d'Isuzu. Après Subaru, Suzuki, GMAC c'est "l'ami de 35 ans" Isuzu qui est libéré contre monnaie sonnante et salvatrice. La cession de ses parts (7.9%) devrait lui rapporter 300 millions de dollars.