Essai Opel Insignia OPC : en tenue de sport... (1/2)
par Nicolas Morlet

Essai Opel Insignia OPC : en tenue de sport... (1/2)

Après la version diesel essayée dans nos colonnes durant l’été, nous avons cette fois pris le volant de la variante musclée de la Voiture de l’Année, l’Insignia OPC. En passant entre les mains des ingénieurs de l’Opel Performance Center, la berline gagne – of course -  une belle quantité de chevaux supplémentaires et affiche une personnalité plus affirmée…

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Après la version diesel essayée dans nos colonnes durant l’été, nous avons cette fois pris le volant de la variante musclée de la Voiture de l’Année, l’Insignia OPC. En passant entre les mains des ingénieurs de l’Opel Performance Center, la berline gagne – of course -  une belle quantité de chevaux supplémentaires et affiche une personnalité plus affirmée…

Dès le premier regard, impossible de confondre cette variante OPC avec ses sages sœurs : tout dans son apparence transpire les hormones et la puissance. Il faut dire que les modifications ne manquent pas. A l’avant, le bouclier intègre des entrées d’air élargies disposées verticalement, qui viennent apporter une toute autre «gueule» à l’auto que les sages ouïes horizontales, secondées par de petites et dynamiques écopes aux extrémités latérales. Les phares intègrent bien entendu la nouvelle signature lumineuse «en boomerang» de la marque et son dotés de l’AFL (Adaptative Forward Lighting) qui permettent à l’éclairage de varier selon huit positions suivant les conditions de roulage (lire ici).

A l’arrière, c’est bien entendu le bouclier également qui assure le show, avec ses deux larges sorties d’échappement en alu et son mini faux diffuseur central, soulignés par un petit aileron fixé sur le haut de la malle. Latéralement enfin, l’Insignia OPC reçoit des bas de caisses et des jantes de 19 pouces (20 en option) spécifiques, et se reconnaît aussi à ses suspensions rabaissées.

A bord, les changements ne manquent pas non plus puisque l’habitacle se dote de sièges baquets en provenance de chez Recaro. Opel est d’ailleurs fier d’annoncer que, grâce à leurs réglages lombaires dans 4 axes et leur extension de la longueur d’assise, ils sont les premiers sièges hautes performances à obtenir le «prestigieux» label des experts orthopédiques indépendants du Aktion Gesunder Rücken (action pour la santé du dos). Paradoxalement, à l’usage, j’ai attrapé mal au dos… un comble !

Pour le reste, l’habitacle reste identique à celui des autres versions de l’Insignia, à l’exception du volant, à base plate et badgé OPC.

L’Insignia OPC est disponible sous les trois formes de carrosserie, 4 portes (comme illustré), 5 portes ou break Sports Tourer pour des tarifs de base compris entre 43.250 (43.900 en Belgique) et 44.650 euros (45.000). L'équipement est pour le moins complet avec, entre autres, le système de détection de sous-gonflage des pneus, le radio-cd MP3 à sept haut-parleurs, la climatisation électronique, les capteurs de stationnement,  le système d’alarme, l’Opel Eye (qui lit les panneaux de signalisation) et la climatisation bi-zone. Notons tout de même qu'en Belgique, il faut piocher dans la liste des options pour s'offrir ces quatre derniers équipements.

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Après la version diesel essayée dans nos colonnes durant l’été, nous avons cette fois pris le volant de la variante musclée de la Voiture de l’Année, l’Insignia OPC. En passant entre les mains des ingénieurs de l’Opel Performance Center, la berline gagne – of course -  une belle quantité de chevaux supplémentaires et affiche une personnalité plus affirmée…

Nicolas Morlet
Rédacteur
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