En remportant dimanche le Rallye de Turquie, Sébastien Loeb aligne avec le sourire sa quatrième victoire consécutive, et cinquième victoire de l'année. Il a survolé le rallye de façon déprimante pour ses adversaires, qui ont dû livrer bataille jusqu'à la fin de l'épreuve pour la seconde place. Elargissant encore un peu plus le sourire sur la figure de Guy Fréquelin, Carlos Sainz, rappelé chez Citroën en remplacement de François Duval laissé sur le banc de touche, a montré que 7 mois d'inactivité ne l'avaient pas trop rouillé puisqu'il termine à la quatrième place finale, ajoutant de précieux points au total de Citroën. Les adversaires traditionnels de Loeb, Petter Solberg et Marcus Grönholm complètent le podium dans cet ordre. A noter également les ennuis de Ford, qui ne peuvent faire mieux que la sixième place de Gardemeister, et la perf du jeune italien Gianluigi "Gigi" Galli sur Mitsubishi qui, avant de sombrer dans le classement suite à des ennuis de turbo, a occupé la seconde place du rallye, y plaçant une Lancer que l'on n'avait vue a pareille fête depuis la grande époque de Tommi Makinen. A peine la cérémonie du podium achevée, Loeb s'est envolé pour la Sarthe où il a atterri directement dans le baquet de sa Pescarolo-Judd pour achever juste dans les temps et sous les vivats les 10 tours nécessaires a sa qualification pour les 24 heures du Mans. Si on apprenait qu'en route il a sauvé un train plein de passagers d'une mort certaine, désamorcé un missile nucléaire et réécrit le projet de constitution européenne on ne serait pas plus étonné que ça. Bien joué, Super Seb !
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En remportant dimanche le Rallye de Turquie, Sébastien Loeb aligne avec le sourire sa quatrième victoire consécutive, et cinquième victoire de l'année. Il a survolé le rallye de façon déprimante pour ses adversaires, qui ont dû livrer bataille jusqu'à la fin de l'épreuve pour la seconde place. Elargissant encore un peu plus le sourire sur la figure de Guy Fréquelin, Carlos Sainz, rappelé chez Citroën en remplacement de François Duval laissé sur le banc de touche, a montré que 7 mois d'inactivité ne l'avaient pas trop rouillé puisqu'il termine à la quatrième place finale, ajoutant de précieux points au total de Citroën. Les adversaires traditionnels de Loeb, Petter Solberg et Marcus Grönholm complètent le podium dans cet ordre. A noter également les ennuis de Ford, qui ne peuvent faire mieux que la sixième place de Gardemeister, et la perf du jeune italien Gianluigi "Gigi" Galli sur Mitsubishi qui, avant de sombrer dans le classement suite à des ennuis de turbo, a occupé la seconde place du rallye, y plaçant une Lancer que l'on n'avait vue a pareille fête depuis la grande époque de Tommi Makinen. A peine la cérémonie du podium achevée, Loeb s'est envolé pour la Sarthe où il a atterri directement dans le baquet de sa Pescarolo-Judd pour achever juste dans les temps et sous les vivats les 10 tours nécessaires a sa qualification pour les 24 heures du Mans. Si on apprenait qu'en route il a sauvé un train plein de passagers d'une mort certaine, désamorcé un missile nucléaire et réécrit le projet de constitution européenne on ne serait pas plus étonné que ça. Bien joué, Super Seb !
En remportant dimanche le Rallye de Turquie, Sébastien Loeb aligne avec le sourire sa quatrième victoire consécutive, et cinquième victoire de l'année. Il a survolé le rallye de façon déprimante pour ses adversaires, qui ont dû livrer bataille jusqu'à la fin de l'épreuve pour la seconde place. Elargissant encore un peu plus le sourire sur la figure de Guy Fréquelin, Carlos Sainz, rappelé chez Citroën en remplacement de François Duval laissé sur le banc de touche, a montré que 7 mois d'inactivité ne l'avaient pas trop rouillé puisqu'il termine à la quatrième place finale, ajoutant de précieux points au total de Citroën. Les adversaires traditionnels de Loeb, Petter Solberg et Marcus Grönholm complètent le podium dans cet ordre. A noter également les ennuis de Ford, qui ne peuvent faire mieux que la sixième place de Gardemeister, et la perf du jeune italien Gianluigi "Gigi" Galli sur Mitsubishi qui, avant de sombrer dans le classement suite à des ennuis de turbo, a occupé la seconde place du rallye, y plaçant une Lancer que l'on n'avait vue a pareille fête depuis la grande époque de Tommi Makinen. A peine la cérémonie du podium achevée, Loeb s'est envolé pour la Sarthe où il a atterri directement dans le baquet de sa Pescarolo-Judd pour achever juste dans les temps et sous les vivats les 10 tours nécessaires a sa qualification pour les 24 heures du Mans. Si on apprenait qu'en route il a sauvé un train plein de passagers d'une mort certaine, désamorcé un missile nucléaire et réécrit le projet de constitution européenne on ne serait pas plus étonné que ça. Bien joué, Super Seb !