Retour aux sources pour la voiture présidentielle russe avec la Zil Concept
Tandis que le premier ministre, Vladimir Poutine, essaie la Renault F1, le président russe Dmitri Medvedev penche sur un retour au source concernant sa voiture présidentielle. Durant les années de gloire de l'URSS c'était Zil (Zavod imeni Likhachova) qui était le fournisseur officiel du Kremlin. Naît en 1916, le constructeur russe a cessé toute activité avec le gouvernement depuis la dislocation de l'Union des républiques socialistes soviétiques et s'est par la suite reconcentré vers la branche des poids lourds. Depuis? plus rien de russe côté voiture officielle, juste des Mercedes Classe S rallongées et blindées à ras bord. Le président ressent donc l'envie, aujourd'hui, comme ses prédécesseurs, de montrer la grandeur de la Russie et de s'exposer dans une limousine bien de chez eux. Nostalgie oblige, c'est bien évidemment Zil qui décroche le contrat, bien qu'un peu rouillé depuis sa dernière "nouveauté" qui remonte à 1991.
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Tandis que le premier ministre, Vladimir Poutine, essaie la Renault F1, le président russe Dmitri Medvedev penche sur un retour au source concernant sa voiture présidentielle. Durant les années de gloire de l'URSS c'était Zil (Zavod imeni Likhachova) qui était le fournisseur officiel du Kremlin. Naît en 1916, le constructeur russe a cessé toute activité avec le gouvernement depuis la dislocation de l'Union des républiques socialistes soviétiques et s'est par la suite reconcentré vers la branche des poids lourds. Depuis? plus rien de russe côté voiture officielle, juste des Mercedes Classe S rallongées et blindées à ras bord. Le président ressent donc l'envie, aujourd'hui, comme ses prédécesseurs, de montrer la grandeur de la Russie et de s'exposer dans une limousine bien de chez eux. Nostalgie oblige, c'est bien évidemment Zil qui décroche le contrat, bien qu'un peu rouillé depuis sa dernière "nouveauté" qui remonte à 1991.
C'est le designer Slava Saakyan, un habitué du constructeur, qui a dessiné cet étonnant concept pour le compte de la marque. Résultat, un croisement entre une boite à chaussures, une Rolls-Royce Phantom, une Bentley Mulsanne accommodé d'un tremplin en guise de vitre arrière. Cette absence de lunette, nous explique Slava Saakyan, traduit l'envie du pays de se projeter vers l'avenir et de tourner le dos au passé, on souhaite dorénavant bonne chance au futur chauffeur du président qui n'aura pas la tâche facile... Immensément large avec un niveau de caisse très bas, elle n'a plus rien à voir avec la glorieuse Zil-41047. Aucun détail n'a été dévoilé si ce n'est un possible V8 ou V12 mais rien de sûr. Le président doit seulement étudier le projet et ça promet déjà une petite bataille des grandeurs avec comme première cible le "véhicule le plus perfectionné au monde" selon les services secrets américains ; la Cadillac de Barack Obama.
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Tandis que le premier ministre, Vladimir Poutine, essaie la Renault F1, le président russe Dmitri Medvedev penche sur un retour au source concernant sa voiture présidentielle. Durant les années de gloire de l'URSS c'était Zil (Zavod imeni Likhachova) qui était le fournisseur officiel du Kremlin. Naît en 1916, le constructeur russe a cessé toute activité avec le gouvernement depuis la dislocation de l'Union des républiques socialistes soviétiques et s'est par la suite reconcentré vers la branche des poids lourds. Depuis? plus rien de russe côté voiture officielle, juste des Mercedes Classe S rallongées et blindées à ras bord. Le président ressent donc l'envie, aujourd'hui, comme ses prédécesseurs, de montrer la grandeur de la Russie et de s'exposer dans une limousine bien de chez eux. Nostalgie oblige, c'est bien évidemment Zil qui décroche le contrat, bien qu'un peu rouillé depuis sa dernière "nouveauté" qui remonte à 1991.
