par Pierre-Laurent Ribault

Il ministro rapido

La grosse gaffe. A la fin d'une conférence de presse banale portant sur les mesures pour les départs en vacances, le ministre italien des transports Pietro Lunardi a déclaré que personellement il préférait rouler seul, la nuit. Un journaliste lui demandant alors s'il roulait quelquefois à 150 km/h s'est vu répondre avec un sourire entendu que oui, et même parfois plus. Pas vraiment étonnant, sachant que le ministre avait proposé en 2003 sans succès de relever la limite sur autoroute à 150 km/h sur certains tronçons.
La remarque provoquant immédiatement la fureur de nombre de gens, il Signor Lunardi a émis un démenti, indiquant qu'il plaisantait, et professant son respect scrupuleux et en toutes circonstances des limites légales. C'est cela, oui. Bien entendu, personne ne l'a cru et l'opposition s'est jeté sur l'occasion, la palme de l'à propos revenant aux Verts qui lui demandent de démissionner à 150 km/h.
Outre qu'il n'est pas très malin de faire ce type de confidence juste avant qu'un grand nombre d'Italiens ne prennent la route des vacances, cette bévue ternit l'image du ministre qui avait pourtant oeuvré pour la sécurité en introduisant le permis à points.
Messieurs les ministres, méditez la mésaventure du ministre italien et faites attention à ce que vous dites. Parce que c'est déjà désagréable en Italie, mais ici Nicolas Sarkozy n'aimerait pas ça du tout mais alors pas du tout.

Source: Sunday Times

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La grosse gaffe. A la fin d'une conférence de presse banale portant sur les mesures pour les départs en vacances, le ministre italien des transports Pietro Lunardi a déclaré que personellement il préférait rouler seul, la nuit. Un journaliste lui demandant alors s'il roulait quelquefois à 150 km/h s'est vu répondre avec un sourire entendu que oui, et même parfois plus. Pas vraiment étonnant, sachant que le ministre avait proposé en 2003 sans succès de relever la limite sur autoroute à 150 km/h sur certains tronçons.
La remarque provoquant immédiatement la fureur de nombre de gens, il Signor Lunardi a émis un démenti, indiquant qu'il plaisantait, et professant son respect scrupuleux et en toutes circonstances des limites légales. C'est cela, oui. Bien entendu, personne ne l'a cru et l'opposition s'est jeté sur l'occasion, la palme de l'à propos revenant aux Verts qui lui demandent de démissionner à 150 km/h.
Outre qu'il n'est pas très malin de faire ce type de confidence juste avant qu'un grand nombre d'Italiens ne prennent la route des vacances, cette bévue ternit l'image du ministre qui avait pourtant oeuvré pour la sécurité en introduisant le permis à points.
Messieurs les ministres, méditez la mésaventure du ministre italien et faites attention à ce que vous dites. Parce que c'est déjà désagréable en Italie, mais ici Nicolas Sarkozy n'aimerait pas ça du tout mais alors pas du tout.

Source: Sunday Times

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La grosse gaffe. A la fin d'une conférence de presse banale portant sur les mesures pour les départs en vacances, le ministre italien des transports Pietro Lunardi a déclaré que personellement il préférait rouler seul, la nuit. Un journaliste lui demandant alors s'il roulait quelquefois à 150 km/h s'est vu répondre avec un sourire entendu que oui, et même parfois plus. Pas vraiment étonnant, sachant que le ministre avait proposé en 2003 sans succès de relever la limite sur autoroute à 150 km/h sur certains tronçons.
La remarque provoquant immédiatement la fureur de nombre de gens, il Signor Lunardi a émis un démenti, indiquant qu'il plaisantait, et professant son respect scrupuleux et en toutes circonstances des limites légales. C'est cela, oui. Bien entendu, personne ne l'a cru et l'opposition s'est jeté sur l'occasion, la palme de l'à propos revenant aux Verts qui lui demandent de démissionner à 150 km/h.
Outre qu'il n'est pas très malin de faire ce type de confidence juste avant qu'un grand nombre d'Italiens ne prennent la route des vacances, cette bévue ternit l'image du ministre qui avait pourtant oeuvré pour la sécurité en introduisant le permis à points.
Messieurs les ministres, méditez la mésaventure du ministre italien et faites attention à ce que vous dites. Parce que c'est déjà désagréable en Italie, mais ici Nicolas Sarkozy n'aimerait pas ça du tout mais alors pas du tout.

Source: Sunday Times

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