Élysée moi : les candidats et l'automobile
par La rédaction

Élysée moi : les candidats et l'automobile

A quelques trois semaines du premier tour de l’élection présidentielle, des candidats (et/ou leurs conseillers experts dans le domaine) viennent de répondre à un questionnaire/sondage adressé par l'Automobile Club, association apolitique regroupant plus de 700 000 membres. Donnant à connaître leurs points de vue inhérents à plusieurs domaines (environnement, mobilité, politique fiscale et sécurité routière), quelques uns des dix acteurs sur la grille de départ du prochain GP présidentiel de France se positionnent (un peu).

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Précisons d'emblée que sur les dix candidats officiellement en course pour les prochaines présidentielles, près de la moitié n'a pas répondu ou n'a pas souhaité répondre. Il s'agit de François Bayrou, Nathalie Artaud, Jacques Cheminade ou Philippe Poutou. Étonnant dans cette liste de retrouver le leader du Modem mais bon...

Tous les autres (Nicolas Sarkozy, François Hollande, Marine Le Pen, Jean Luc Mélenchon, Eva Jolly et Nicolas Dupont-Aignan) ont donc répondu au questionnaire. Si tous s'accordent sur la nécessité de voir l'automobile continuer à jouer un rôle majeur comme mode de déplacement, des divergences apparaissent évidemment sur d'autres points.

Ceci se traduit par exemple quand est évoquée la question de la sécurité routière même si un consensus se dégage autour d'une formation continue du conducteur. En clair ce sont les méthodes de contrôle et de sanction qui divergent. Peu ou pas de précisions quant à une politique ciblée sur les infrastructures.

Dans le domaine de la politique fiscale, et la question centrale du coût du carburant, François Hollande plaide pour l'instauration de la TIPP flottante quand le chef de l'état en fonction explique que cette option s'apparente à un mensonge. Pour le leader du Front de gauche, il est question de refuser toute politique pénalisant financièrement le citoyen. Parmi les autres sujets abordés figure celui de l'environnement, sans faire injure à quiconque, où tous y vont gaiement de leurs poncifs bien travaillés. Rien de novateur donc. Qui ne souhaite en effet pas une meilleure qualité de l'air... Bref. En général du reste, rien de fort concret à se mettre sous la dent.

Pour en découvrir davantage, je vous invite à cliquer sur ce lien pour les réponses des candidats et sur celui-ci pour le sondage originel. Rappelons en conclusion que l'ACA c'est donc un vivier de 700 000 membres sur les 36 millions d'automobilistes de l'Hexagone. Et autant de potentielles personnes appelées à s'exprimer dans le sacro-saint secret de l'isoloir.

A lire également. Carburant : la France pourrait puiser dans ses réserves et Les bandes sonores obligatoires sur autoroute.

Source : ACA.

Crédit image : site officiel de l’Élysée.

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Pour résumer

A quelques trois semaines du premier tour de l’élection présidentielle, des candidats (et/ou leurs conseillers experts dans le domaine) viennent de répondre à un questionnaire/sondage adressé par l'Automobile Club, association apolitique regroupant plus de 700 000 membres. Donnant à connaître leurs points de vue inhérents à plusieurs domaines (environnement, mobilité, politique fiscale et sécurité routière), quelques uns des dix acteurs sur la grille de départ du prochain GP présidentiel de France se positionnent (un peu).

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