Le constructeur belge Minerva, dont la fondation remonte à 1898, ce fut dans son histoire la production de quelques 50 000 automobiles jusqu'à sa disparition des radars vers la fin des années 1950. Les plus férus se rappelleraient de quelques modèles, parmi d'autres, entre Type C, M6 ou M8. On peut aussi se souvenir qu'à sa grande époque, le constructeur belge espérait avec ses luxueuses autos tout simplement venir titiller Rolls-Royce. On peut aussi rappeler que l'histoire industrielle de la marque débuta avec des motocyclettes et motos mais s'articula aussi autour de moteurs, bus ou de véhicules tout-terrain. Voici pour petite piqure de rappel non exhaustive (historique complet) du passé. Place au présent... Enfin, au conditionnel.
Zapping Le Blogauto Essai de la Volkswagen ID3 (2023)
Le constructeur belge Minerva, dont la fondation remonte à 1898, ce fut dans son histoire la production de quelques 50 000 automobiles jusqu'à sa disparition des radars vers la fin des années 1950. Les plus férus se rappelleraient de quelques modèles, parmi d'autres, entre Type C, M6 ou M8. On peut aussi se souvenir qu'à sa grande époque, le constructeur belge espérait avec ses luxueuses autos tout simplement venir titiller Rolls-Royce. On peut aussi rappeler que l'histoire industrielle de la marque débuta avec des motocyclettes et motos mais s'articula aussi autour de moteurs, bus ou de véhicules tout-terrain. Voici pour petite piqure de rappel non exhaustive (historique complet) du passé. Place au présent... Enfin, au conditionnel.
Sur son site officiel, le constructeur belge refait surface (sans qu'on sache qui se cache derrière) avec la JM Brabazon, une étude de supercar hybride virtuelle pour l'instant, illustrée via force croquis. Ce projet sur papier annonce une super sportive hybride animée par un V12 bi-turbos couplé à deux moteurs électriques dont la puissance est transmise aux roues avant.
Puissance et couple ne sont pas connus. Le poids non plus. Le gabarit non plus. En revanche, un ordre de grandeur de v-max est avancé : plus de 400 km/h.
Ce coupé sport hérite d'un châssis monocoque en fibre de carbone, boîte séquentielle Type F1 et différentiel à glissement limité. Cinq modes de conduite sont programmés : économique, normal, sport, race et safety. Voici pour les quelques données dévoilées pêle-mêle. Quant au nom de l'auto (qui n'est pas sans rappeler le patronyme Brabançonne de l'hymne belge), il fait référence à Lord John Moore Brabazon (l'aviateur britannique ?).
Dernier détail : Minerva ne pourrait pas en rester là. Et pour cause : sur ce même site officiel on note que, prochainement, deux versions complémentaires baptisées Royal et Excellence semblent dans les cartons. Reste à se demander ce qui pourrait déboucher de tout ceci... Minerva, déesse de la sagesse. La sagesse exigera donc d'en savoir et voir davantage.
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Pour résumer
Le constructeur belge Minerva, dont la fondation remonte à 1898, ce fut dans son histoire la production de quelques 50 000 automobiles jusqu'à sa disparition des radars vers la fin des années 1950. Les plus férus se rappelleraient de quelques modèles, parmi d'autres, entre Type C, M6 ou M8. On peut aussi se souvenir qu'à sa grande époque, le constructeur belge espérait avec ses luxueuses autos tout simplement venir titiller Rolls-Royce. On peut aussi rappeler que l'histoire industrielle de la marque débuta avec des motocyclettes et motos mais s'articula aussi autour de moteurs, bus ou de véhicules tout-terrain. Voici pour petite piqure de rappel non exhaustive (historique complet) du passé. Place au présent... Enfin, au conditionnel.
