Bilan mondial 2010 : Chevrolet casse des BRIC
par La rédaction

Bilan mondial 2010 : Chevrolet casse des BRIC

Bilan suite. Place cette fois à Chevrolet qui livre sa performance au niveau international. Et comme on peut le constater d'emblée ce sont les pays regroupés sous l'acronyme BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) qui, avec les USA, ont permis à la marque d'écouler 4,26 millions d'unités pour une part mondiale de marché s'établissant à 5,8 point en progression de 0,35 % vis à vis de l'exercice précédent. Premier constat : sur le planisphère auto, les cartes, pour Chevrolet comme pour d'autres, continuent à être rebattues. Un constat qui finalement n'a rien de surprenant à l'heure où certains marchés explosent.

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Bilan suite. Place cette fois à Chevrolet qui livre sa performance au niveau international. Et comme on peut le constater d'emblée ce sont les pays regroupés sous l'acronyme BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) qui, avec les USA, ont permis à la marque d'écouler 4,26 millions d'unités pour une part mondiale de marché s'établissant à 5,8 point en progression de 0,35 % vis à vis de l'exercice précédent. Premier constat : sur le planisphère auto, les cartes, pour Chevrolet comme pour d'autres, continuent à être rebattues. Un constat qui finalement n'a rien de surprenant à l'heure où certains marchés explosent.

Il faut cependant tempérer les résultats enregistrés par Chevrolet sur certains de ses marchés. prenons par exemple le marché indien où la marque faisait récemment état de son bilan. Si les chiffres complets pour le marché indien n'ont pas été livrés, on avance un volume global de 2 millions d'unités, Chevrolet restant encore loin du poids lourd Maruti/Suzuki.

Ceci dit, Chevrolet peut et va encore progresser : d'ici 3 à 4 ans, le marché indien devrait devenir le 4e au monde. On comprend alors pourquoi GM compte, par exemple, d'ici à 2012 investir en masse sur place et lancer plusieurs modèles dont six nouvelles autos.

Autre pays BRIC où Chevrolet progresse, c'est évidemment en Chine avec une explosion de 63 %  à 543 700 unités dont 190 000 pour la Cruze et 125 000 pour la New Sail (sur un volume supérieur à 18 millions d'exemplaires).

Au Brésil, Chevrolet a enregistré un record absolu de 657 697 véhicules vendus en 2010. Avec environ 365 000 ventes il y a seulement cinq ans, la marque au nœud papillon enregistre un  taux d’accroissement de 78%.

Bilan final ? La zone BRIC revendique désormais 33 % des véhicules vendus. En y ajoutant le volume US (représentant 70 % du total des véhicules GM vendus), on note finalement que 2 993 612 unités sur le volume global des 4 260 000 d'unités y sont commercialisées. Je vous laisse le soin de calculer le pourcentage de ce que cela représente. A titre de comparaison, sur l’ensemble de l’exercice 2010, Chevrolet Europe aura vendu 477 194 véhicules (soit quand même un gain de 12 % par rapport à 2009).

L'avenir ? "Chevrolet a encore un bon potentiel de croissance, car huit des pays du top 10 des meilleures ventes de 2010 sont des marchés émergents : Brésil, Chine, Ouzbékistan, Mexique, Russie, Inde, Argentine et Colombie. Avec les Etats-Unis et le Canada, ces 10 pays représentent 85% de l’ensemble des ventes de Chevrolet", conclut la marque (Ouzbékistan ?!). Le soleil se lève à l'est et les marques vont tout mettre en œuvre afin de continuer à casser des BRIC.

A lire également. Marché US : bilan 2010, Bilan commercial 2010 :  Chevrolet, Bilan 2010 : GM progresse en Inde et Bilan 2010 :  Chevrolet en Europe.

A voir également. Galerie essai Chevrolet Spark.

Source : Chevrolet.

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Pour résumer

Bilan suite. Place cette fois à Chevrolet qui livre sa performance au niveau international. Et comme on peut le constater d'emblée ce sont les pays regroupés sous l'acronyme BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) qui, avec les USA, ont permis à la marque d'écouler 4,26 millions d'unités pour une part mondiale de marché s'établissant à 5,8 point en progression de 0,35 % vis à vis de l'exercice précédent. Premier constat : sur le planisphère auto, les cartes, pour Chevrolet comme pour d'autres, continuent à être rebattues. Un constat qui finalement n'a rien de surprenant à l'heure où certains marchés explosent.

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