Dans la famille Porsche 911, après les firme de Stuttgart ne retouche en effet que très modestement son mythique modèle (l'apparition de la 911 Turbo première du nom remonte en fait à 1974 et sa présentation au Mondial de Paris). En revanche l'intemporel flat-six reçoit un plus radical upgrade moteur pour venir désormais presque chatouiller la GT2. Bref du changement dans la continuité. Ou de la continuité à travers quelques changements.
Dans la famille Porsche 911, après les précédentes versions, je demande la mise à jour de la version Turbo. Bonne pioche. Au contraire au jeu des sept différences, bon courage pour atteindre ce chiffre tant, visuellement parlant, cette dernière version se rapproche du millésime précédent. La firme de Stuttgart ne retouche en effet que très modestement son mythique modèle (l'apparition de la 911 Turbo première du nom remonte en fait à 1974 et sa présentation au Mondial de Paris). En revanche l'intemporel flat-six reçoit un plus radical upgrade moteur pour venir désormais presque chatouiller la GT2. Bref du changement dans la continuité. Ou de la continuité à travers quelques changements.
La belle supersportive allemande n'évolue donc que très timidement sur le plan esthétique (jantes, projecteurs antibrouillard et cerclage des feux chromé) conservant alors son charme indéniable ayant, depuis sa première génération il y a plus de quatre décennies, fait son histoire et sa renommée à l'échelon international.
S'il faut déceler une importante mise à jour, trois années après le lancement de l'ultime version, c'est donc en abordant la partie motorisation et constater que l'increvable bloc flat six (exit le 3.6 l) à 3.8 l (Carrera S) délivre désormais 500 chevaux et se rapproche des sphères d'une GT2 créditée elle de 530 chevaux. Animée de la sorte elle endosse les habits de lumière de Porsche 4WD la plus véloce en revendiquant 312 km/h en vitesse de pointe (gain de 5 km/h) et la misère de 3,4 secondes pour passer de 0 à 100 km/h ou le 0 à 200 km/h en 11,3 s (en combinaison avec le pack Sport Chrono Turbo et boîte PDK). Dans le même temps, Porsche annonce des émissions de CO2 inférieures de 18 % par rapport à la génération prédécente. Ah, le poids : 1 570 kilogrammes en version coupé.
Conservatrice extérieurement, plus fougueuse mécaniquement et mise à jour techniquement puisque la nouvelle itération de la 911 Turbo reçoit en option la boîte de vitesses PDK à double embrayage et palettes au volant. Hop gauche rétrogradage, hop droite montée en rapports. Enfin elle devrait se montrer plus joueuse avec une version améliorée du Porsche Traction Management offrant une répartition optimale pour une puissance maximale. La nouvelle Porsche 911 Turbo devrait être présentée lors du prochain salon de Francfort (aucune autre allusion ne sera suggérée quant à un certain lieu allemand réputé pour son déferlement de puissance...). Pour finir l'addition avant le lancement en novembre prochain : 147 624 euros en Coupé et 158 866 euros en cabriolet.
A lire également. Porsche réduirait la production de la 911 et Essai nouvelle Porsche Carrera 4S Cabriolet : partie 1 et partie 2.
A voir également. Galerie essai Porsche 911 4S Cab phase II.
Source : Autoexpress.
Dans la famille Porsche 911, après les firme de Stuttgart ne retouche en effet que très modestement son mythique modèle (l'apparition de la 911 Turbo première du nom remonte en fait à 1974 et sa présentation au Mondial de Paris). En revanche l'intemporel flat-six reçoit un plus radical upgrade moteur pour venir désormais presque chatouiller la GT2. Bref du changement dans la continuité. Ou de la continuité à travers quelques changements.
Retrouvez tous les soirs une sélection d'articles dans votre boite mail.
