Christijan Albers quitte l'écurie Spyker F1. Officiellement, ses qualités de pilote ne sont pas en cause. Dominé régulièrement par son équipier le rookie Adrian Sutil, et auteur d'une erreur grossière à Magny-Cours dernièrement, où il est reparti de son stand avec la pompe à essence, Michael Mol - patron de Spyker F1 - assure pourtant que ses performances derrière le volant n'ont pas influencé cette décision. Non, l'un des sponsors d'Albers ne désire simplement plus payer la facture, d'où l'éviction du pilote.
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Christijan Albers quitte l'écurie Spyker F1. Officiellement, ses qualités de pilote ne sont pas en cause. Dominé régulièrement par son équipier le rookie Adrian Sutil, et auteur d'une erreur grossière à Magny-Cours dernièrement, où il est reparti de son stand avec la pompe à essence, Michael Mol - patron de Spyker F1 - assure pourtant que ses performances derrière le volant n'ont pas influencé cette décision. Non, l'un des sponsors d'Albers ne désire simplement plus payer la facture, d'où l'éviction du pilote.
En provenance du DTM, il débarque chez Minardi en 2005, écurie avec laquelle il marquera quelques points à Indianapolis lors de la triste édition 2005 du Grand Prix des Etats-Unis. L'an passé, il signe avec l'écurie Midland, ex-Jordan, qui deviendra vers la fin de l'année Spyker où il a été rejoint par Adrian Sutil cette saison, avant d'être poussé vers la sortie. Cette semaine, Christijan Albers devait participer à la séance d'essais programmée sur le circuit de Spa-Francorchamps, aux côtés de Sutil et du troisième pilote Van der Garde. Troisième pilote qui se retrouve désormais en bonne place sur la liste des prétendants au baquet laissé libre par son compatriote.
Christijan Albers quitte l'écurie Spyker F1. Officiellement, ses qualités de pilote ne sont pas en cause. Dominé régulièrement par son équipier le rookie Adrian Sutil, et auteur d'une erreur grossière à Magny-Cours dernièrement, où il est reparti de son stand avec la pompe à essence, Michael Mol - patron de Spyker F1 - assure pourtant que ses performances derrière le volant n'ont pas influencé cette décision. Non, l'un des sponsors d'Albers ne désire simplement plus payer la facture, d'où l'éviction du pilote.
