On ne l’a pas vu arriver. L’actualité a été brûlante pour Toyota et son offre électrique ces dernières semaines. On pensait être tranquille avant la révélation du prochain – CHUT – Rav4, probablement d’ici à la fin du mois. Et bien non, Toyota avait encore un petit cadeau à nous présenter, le bZ4X Tourer.
Le même en plus long
Vous connaissez le bZ4X? Normal, il mène une carrière assez discrète chez nous. Il n’est pourtant pas très loin des 100 000 exemplaires écoulés dans le monde depuis sa sortie en 2022. Un joli score pour le premier véhicule 100% électrique du premier constructeur mondial. Il fut très attendu, certains diront trop au vu de sa réception fraiche faite par la presse. A tel point que le constructeur a revu très vite sa copie en ajournant la sortie définitive et en améliorant les bases techniques qui étaient originalement déja en retard sur la concurrence.
Depuis, le bZ4X fait son petit bonhomme de chemin sans trop bousculer personne. Une première nouvelle d’un restylage assez profond peut lui donner une seconde partie de carrière intéressante. Et là nous arrivons à la bonne nouvelle. Il sera accompagné d’une variante Tourer! Oui, une espèce de SUV Break. Ne me demandez pas, demandez à Toyota plutôt.
Le bestiau se présente donc avec 14 cm de plus en longueur et 2 cm de plus en hauteur pour atteindre respectivement 4,83 m et 1,67 m. Cela au bénéfice quasi exclusif du coffre qui passe d’un médiocre 442 l (pour la version restylée) à un plus confortable 600 l.
A l’intérieur, le nouveau venu bénéficiera du même intérieur et de la même nouvelle planche de bord que le bZ4X restylé. Une vraie bonne valeur ajoutée, l’intérieur ayant fait partie des gros point noirs du modèle depuis sa sortie. Tant en qualité d’assemblage qu’en qualité perçue.
Une puissance accrue
Concernant les soubassements il y a aussi du nouveau. L’offre de batterie sera – a priori – unique avec une capacité de 74.7 kWh bruts et la possibilité (comme le bZ4X normal) d’embarquer une traction intégrale. Les puissances embarquées changent également. La simple traction sera disponible avec un seul moteur dont la puissance sera de 224 ch, idem que sur la traction la plus puissante sur la version standard…enfin berline… enfin pas Tourer.
En quatre roues motrices, la puissance montera jusqu’à 380 ch, ce qui en fera la Toyota électrique la plus puissante de la gamme. C’est pour information 37 ch de plus que le plus puissant des bZ4X tout court.
La capacité de recharge sera la même que sur le petit frère qui a mangé moins de soupe. Une capacité maximale en courant continu de 150 kW, et un chargeur embarqué de 22 kW pour le courant alternatif. Assez moyen pour le premier, mais Toyota a – dit-on – travaillé sur le préconditionnement de la batterie, ce qui garantirait une belle courbe de puissance de recharge. En revanche pour la charge en courant alternatif, le nouveau venu se place parmi les meilleurs du marché. Joli.
Avec ce nouveau bZ4X Tourer, Toyota est entrain d’étoffer très fortement son offre électrique en Europe. En comptant le bz4X, et les futurs arrivants que sont le C-HR+ et l’Urban Cruiser, c’est donc le 4e véhicule tout electrique de la gamme à faire son apparition.
Le bZ4X Tourer sera disponible sur le marché Européen au printemps 2026.
Crédit photos: Toyota.
Tu parles d’une surprise : le Subaru Soltera dérivé de la BZ4X a eu droit à une version break. En retour, Toyota a droit à une BZ4X dérivée de la Soltera break.
La boucle est bouclée.
Je la trouve bien plus belle que la berline… mais malheureusement trop grande pour moi
Depuis la corolla verso toyota est incapable de produire un plancher plat et quand on dit plat c est plat sur 180 degre . Nous avions pres de 800 corolla verso et en passant au rav 4 nous avons vu une grosse degradation sans compter qu on s est fait voler pres de 100 rav4. Ds le carolla cross achete en belgique il y a carrement une marche d escalier…. aucun journaliste ne regarde cette fonctionnalite pourtant essentielle. Merci
Alors oui ça s’appelle un monospace … refaites des monospaces sincèrement au lieu que toutes ces autos qui se veulent funs mais qui n’ont pas d’habilité, qui sont lourdes et inutilement encombrantes.