Catégorie : Compétitions Auto

Samedi, on vous a conté partiellement cette histoire sans frontière qui a permis au team Pilotage Passion de poursuivre laventure après la malheureuse sortie de route en fin dessais. On vous en avait promis la suite La voici ! En collaboration avec Patrick Hayot

On vous l´avait dit : la Maserati allait imprimer le rythme et certainement prendre la poudre descampette. Chose dite, chose faite ! Dès lentame du deuxième tour, la 2 de Jamie Davis prenait le meilleur sur lAston Martin de Piccini et un tour plus tard la 1 faisait de même et renvoyait donc lAnglaise en 3^e position. La domination des Italiennes saffirmait au fil des tours et senvolaient pour un cavalier seul ! Allions-nous dès lors assister à une ronde monotone ? –  En collaboration avec Patrick Hayot

Sur le circuit spadois, il ny a pas que des GT en cette fin juillet. Les monoplaces des Renault World Series, les 3.5, ont aussi laissé de la gomme sur le long tracé belge. Une épreuve en deux manches, 35 minutes le vendredi fin daprès-midi et 40 minutes le samedi un peu avant le départ des 24 heures. Et comme toujours, les pilotes des Renault 3.5 nous ont offert du spectacle et de fameuses sorties de piste. D’autant qu’un circuit aussi mythique que celui de Francorchamps force les pilotes à vouloir se mettre aux avant-postes.

Voilà, les 24 heures de Spa ont vraiment démarré ce samedi à 16 heures. 44 voitures s’affronteront pour un double tour d’horloge. Dès le premier tour, les Maserati ont montré quelles ne comptaient pas laisser lAston Martin de Piccini ouvrir la route. Sur un dépassement très osé, à la limite de la touchette, Davies, au volant de sa MC12, prend le commandement à la Chicane du Bus stop. Peu après, cest Bertolini qui prendra la seconde place. Après 45 minutes de course, ce sont donc les deux Maserati MC12 du team Vitaphone qui sont au commandement. Les premiers changements de pilote commencent. Rendez-vous sur le Blog Auto pour vivre lépreuve de l’intérieur. Vous pouvez aussi jeter régulièrement un oeil sur les tableaux officiels.

Il est de belles histoires qui sécrivent à la sueur du front ! Celle de la Dodge Viper de Pilotage Passion est lune delle. Nous sommes jeudi soir, fin de la seconde séance dessai qualificatif. Le chrono de cette GT3 partagée entre Nozière, Brouard, Beau et Tremblay sétant arrêté à 2 min 34.818, la voilà située en 39e position sur la grille de départ. Il reste à peine ¼ dheure et lirréparable se produit En collaboration avec Patrick Hayot

Tout est relatif en fait, il est évident que lon parle ici de la pole position ! On se doutait bien que le chrono réalisé ce jeudi soir à Francorchamps ne serait battu, mais histoire de suspense On retrouve donc lAston Martin (5) du quatuor Lémeret/Deletraz/Piccini/Fässler devant les deux Maserati MC12 du team Vitaphone, respectivement Vosse/Davies/Biagi et van de Poele/Bartels/Bertolini. De ces trois voitures, il semble évident que la favorite soit la Maserati. La victoire en 2005 la place effectivement avec la meilleure cote qui soit. De plus, les équipages sont des plus homogènes et très expérimentés. Et si les dires de van de Poele se confirment, à savoir que les temps ont été réalisés avec un moteur « course », une des deux voitures verte et noire devrait rapidement prendre les devants. En collaboration avec Patrick Hayot

Petit rajout à la série de vidéos prises sur le Nürburgring "version Homme" avec cet étrange mais ô combien rafraichissant (c’est de saison) tour en Porsche 911 Carrera. Rien de transcendant au demeurant sauf que sous les roues larges de la belle rouge de Zuffenhausen, vous trouverez de la neige ! La météo locale a effectivement tendance à blanchir les 22 km du circuit mais certainement pas à refroidir les ardeurs des amateurs de la boucle Nord. Dites vous que pour assurer un minimun, ils auraient pu choisir une Carrera 4 mais non, c’eut été trop simple ! S’il n’y avait le commentaire, les images sur la musique vous transporterait facilement dans une douce transe revivifiante. Qui a dit qu’une 911 était déséquilibrée ?

La série des "Nürburg’ en" s’achève (certainement provisoirement) par le must des must, l’exemple parfait, le tour ultime, la quintessence du maniement de volant, le "thrill" magistral orchestré par Stefan Roser, un illustre inconnu du grand public (mais certainement pas pour les initiés) qui se permet de dompter 2 monstres en un seul film de 7.26. C’est comme si le Nürburgring s’etait fait petit devant l’immense talent du bonhomme. L’autre monstre est une Porsche RUF 911 CTR "Yellowbird"  de 1987 (modèle 930) qui est à la 997 ce que la pierre de silex est au Micro-onde . Ou pas loin.