Lhonneur est sauf. Après la mort annoncée de Blackpool, quels joyaux restent ils à la couronne? Une Mini bavaroise qui perd son improbable accent brésilien pour le chti, des Lotus nippo-malayse à la santé fragile et quelques badges prestigieux germano-américain. Oublié le dash-pot récalcitrant du SU, létanchéité douteuse du bloc fonte ou les facéties de Lucas, prince des ténèbres. Poésie automobile au charme inimitable dont lissue, en charmante compagnie à mini jupe, of course, pouvait se traduire par un retour piéton dans l’attente dun taxi, tout aussi inimitable. Que lon se rassure, LTI, London Taxi International, va bien, et sa production est aussi britannique que la collection de couvre-chefs dElisabeth II.
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