Renault Estafette, Goelette et Trafic : la nostalgie dans l’utilitaire

On le sait, sous l’impulsion de Luca de Meo, Renault se tourne enfin sur son passé pour mieux jouer la carte nostalgie. C’est vrai avec Renault 5, Renault 4, la Twingo même. Dans l’utilitaire, Renault dévoile les Estafette, Goelette et Trafic E-Tech de 2026.

Ces trois véhicules sont la concrétisation de la collaboration avec Flexis. Pour rappel, c’est une entreprise indépendante fondée par Renault Group, Volvo Group et CMA CGM Group. Le but évidemment est d’avoir une gamme pour la logistique de demain. Techniquement, les véhicules sont conçus sur une plateforme dite « skateboard ». On pose littéralement une caisse sur un « châssis roulant ». On peut donc plus simplement changer la caisse sans changer les dessous.

Les noms emblématiques repris, pas les designs

Pour les trois véhicules, Renault a choisi des noms emblématiques des utilitaires au losange. Le Trafic qui est toujours en production depuis 1980 en est un. Ici, c’est le Renault Trafic E-Tech electric. Le design monovolume reste une constante. Mais, ici, le Trafic de 2026 a un porte-à-faux avant très court et un empattement allongé. Cela maximise l’espace intérieur. Toutefois, Renault pense à la maniabilité (plus l’empattement est long et moins c’est maniable normalement) et annonce un rayon de braquage équivalent à celui d’une Renault Clio !

Sa hauteur de moins de 1,90 m garantit un accès facile aux parkings souterrains. Esthétiquement, il change fortement ce nouveau Trafic. Trait commun aux trois véhicules, le parechoc intègre des feux en positions « normale ». Ils sont complétés par un bandeau haut qui change selon le modèle.

A l’arrière du Trafic E-Tech, on retrouve de classiques feux verticaux, dessinés par des LED ici, en 3D. Pour le reste, on est sur un utilitaire somme toute classique.

La Goélette, un Trafic châssis nu

Renault ressort le nom de Goélette. Lancée en 1956, la Goélette est mythique dans les utilitaires, au même titre qu’un type H Citroën ou un D4 chez Peugeot. A l’époque, le fourgon pouvait être aménagé et transformé pour répondre à différents besoins. Ici, la Renault Goelette E-Tech électric se décline en trois versions : châssis cabine, box et benne, offrant ainsi un vaste panel de véhicules transformés.

Tout l’avant de la Goélette est en fait un Trafic. On pourrait donc, par un raccourci que ne prend pas Renault, parler d’un Trafic châssis cabine. Les feux arrière passent en partie basse, dans l’alignement du châssis.

Enfin la Renault Estafette E-Tech electric est, selon Renault, un véhicule pensé pour la ville moderne. Là aussi on a un nom iconique. Mais, Renault le « tord » un peu puisque la Renault Estafette était une fourgonnette en 1959. Ici, on a un gros véhicule de 5,27 m de long pour 2,60 m de haut ! Renault joue la nostalgie sur le nom, mais pas le design ici.

Pour faire enfin décoller l’utilitaire électrique ?

L’intérêt de la plateforme skateboard ici est de permettre à une personne de 1,90 m de passer de la cabine à l’espace de chargement sans contrainte. Là aussi, Renault promet une maniabilité « exceptionnelle ». On notera les portes avant coulissantes à galandage, mais aussi un très parebrise panoramique. L’Estafette aussi a des feux en partie basse dans le bouclier, et une signature lumineuse haute spécifique.

A l’arrière, la Renault Estafette propose un rideau coulissant d’un seul bloc.

Pour le moment, on est court sur la fiche technique. En effet, comme vous l’avez lu, ce sont des véhicules 100 % électriques. Or, si en tournée quotidienne, avoir une autonomie de 250 km urbains peut s’envisager, c’est très vite pénalisant en inter-cité. Pour les pros, le ROI (retour sur investissement) est également primordial. Les utilitaires électriques actuels n’ont pas forcément un ROI suffisamment intéressant. C’est pour cela que le marché du VULe décolle à peine.

Cette nouvelle gamme de véhicule sera produite en France, à l’usine de Sandouville. Ils seront disponibles sur le marché à partir de 2026.

(29 commentaires)

  1. Ressortir des noms de 1956 et 1959 (merci Duckduckgo de m’avoir montré à quoi ressemblait une Goelette ^^), on tape quand même dans des noms qu’ont connu nos grands parents, voir surement les arrières grands parents de certains lecteurs. C’est une époque où même un vieux modèle comme la 911 n’existait pas.
    On comprend tout de suite mieux pourquoi les acheteurs de voitures neuves sont de plus en plus vieux, c’est eu la cible, c’est à eux qu’on parle, Renault a juste oublié que nos grands parents achètent des voitures mais pas des utilitaires, ils sont en retraite bien mérité, ils n’ont aucune utilité de ce genre d’engin. Il faudrait qu’ils s’en rendent compte avant de nous ressortir des noms d’avant guerre, on ne sait jamais ^^

    1. En fait la ‘Tafette a été produite jusqu’en 1980 et on en a vu rouler encore jusqu’en 2000 environ.
      Le Trafic est encore utilisé. Il n’y a que la Goélette (un voilier) qui s’est un peu perdue dans les mémoires…
      Et encore….la Goélette a été remplacée (enfin presque) par la Super Goélette que l’on a connu si on a 35 ou 40 ans.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Renault_Super_Go%C3%A9lette

      On a encore qq pays qui les utilisent et AVIA (ex-Tchécoslovaquie) l’a produit jusqu’en 2000 ce Saviem.

      Ils auraient pu ressortir « fourgonnette » (appellation commerciale de l’Estafette justement) mais c’est devenue une antonomase et cela aurait sans doute porté à confusion.

      Surtout, cela va permettre de faire de la pub nostalgique comme on a depuis qq temps avec Renault 🙂

      Pour la peine : https://www.youtube.com/watch?v=g6HrX2eTA-I

      1. « la Goélette a été remplacée (enfin presque) par la Super Goélette que l’on a connu si on a 35 ou 40 ans. »

        Ou pas. ^^ J’ai beau avoir 40 ans, je n’avais jamais entendu parlé de la Goélette avant cet article. En cherchant sur internet à quoi ça ressemblait, effectivement, j’ai déjà dû en croiser, mais c’était quand même pas aussi courant qu’un Trafic par exemple. Même l’Estafette, je connais le nom mais j’ai du en voir plus souvent dans des films que dans la rue, ou alors j’étais trop jeune pour m’intéresser à ce genre de véhicule.

    2. On parle d’utilitaires destinés aux entreprises. C’est quoi le rapport avec l’acheteur type d’une voiture neuve ? Vous avez oublié qu’il existait tout un monde appelé « entreprise » où des gens travaillent et ont des besoins comme par exemple : des utilitaires ?

      Et pour un responsable de parc VU, la proposition de Renault peut fortement intéresser. Le nom est là pour faire parler mais l’intérêt principal, c’est d’abord le produit.

      Niveau design, ce nouveau trafic est moderne et sympa. Pas de fausse note ici.
      Mais surtout, tout l’intérêt repose sur l’architecture 800 volts et Software Defined Vehicle qui permettra de faciliter grandement la gestion de flotte et l’utilisation au quotidien. Pour les flottes d’utilitaires, notamment pour les livraisons du dernier km, cette gamme coche de très nombreuses cases et il n’y a pas vraiment de concurrents en face.

      En revanche, l’enjeu est aussi de convaincre les artisans, indépendants, petites PME qui représentent une part très importante de la clientèle de VUL et c’est eux aujourd’hui qui sont réfractaires à l’utilitaire électrique pour des raisons d’autonomie (les actuels Trafic, Transit ont une autonomie max inferieure à 330km WLTP contre 460km pour le nouveau Trafic), la recharge (18 min sur le nouveau Trafic grâce au 800volts contre 45min actuellement) et le ROI/prix. Espérons que le fait de produire le véhicule sous différentes marques et déclinaisons permette de réduire les tarifs.

      1. Visiblement t’es passé complètement à coté de mon commentaire, mais c’est pas grave 😉
        Si tu relis mon commentaire tu verras qu’à aucun moment je ne parle du produit, je ne parle que de son nom. En même temps, je ne vois pas comment est-ce qu’on peut parler d’un produit dont on n’a aucune info technique dessus. Je ne pense pas que les entreprises achètent sur photos, sans connaitre l’autonomie, le temps de charge, la dimension, la charge utile, etc, mais je peux me tromper, je ne suis pas chef d’entreprise.

        1. Le nom, c’est un nom. Renault a des noms d’utilitaires dans son inventaire, déposés à l’INPI et qui parlent à de nombreuses personnes (même moi de la Gen Z, le nom Estafette me parle bien avant que Renault décide de la ressusciter en 2025) ils les réutilisent, faut pas chercher beaucoup plus loin.

          Ils auraient pu appeler leurs véhicules 001/002/003 SU7/SU8 comme le font les constructeurs chinois, peut être que cela vous aurait plus convaincu !

          Les infos techniques :
          Trafic : capacité de charge utile comprise entre 2,50 et 4 mètres de long
          Autonomie maximale de 460 kilomètres.
          Batterie 800v. Charge 20-80 en 18 minutes
          Châssis totalement plat.
          Architecture électronique SDV facilitant la gestion de flotte via API et SDK. Embarque des gros calculateurs Qualcomm. Entretien prédictif et anticipation des pannes comme sur les camions…

          Estafette : 2m60 de haut, possibilité de tenir debout, portes coulissantes pour faciliter les livraisons du dernier km. Rayon de braquage de 10m. Charge utile de 1,7 t

  2. Tout cela est très bien, enfin façon de parler, car pour la création RENAULT est vraiment en panne séche Reprendre des véhicules qui ont fait les heures de gloire de la marque et les remixer en quelque sorte faut vraiment être au fond du trou. Tous ce ingénieurs ils servent à quoi ??? ils n’ont plus de génie !! malheureusement comme les pauvres artistes qui recyclent de vieilles chansons, car eux aussi n’ont plus de talent….. mais cherchent de l’argent !!

    1. Votre commentaire est un peu dur… Un utilitaire a des contraintes assez strictes et peu de place laissée aux fantasmes d’ingénieur. Il y a encore très peu d’utilitaires ‘conçus électriques’, on ne peut donc pas accuser Renault d’être en retard ou suiveur. Mais, ok, il n’y a d’impression d’innovation radicale, comme par exemple à la sortie du cybertruck Tesla (qui au final se révèle être plus un jouet pour influenceur qu’un outil pour artisan, et dont les avancées techniques sont toutes relatives).
      Quant au rôle des ingénieurs dans le choix des noms des modèles, c’est en général largement en dehors de leurs attributions (et c’est sans doute pour le mieux ;-))

    2. Nombreux sont les constructeurs qui recyclent les anciens noms sans que pour cela soit un pb car les véhicules n’ont rien à voir!
      dans l’ordre alphabétique:
      Alfa romeo: giulia, giulietta existe depuis 70 ans…
      Audi A3, A4, A6… depuis 30 ans
      BMW: série 3, série 5, serie 6, série 7: pas loin de 50 ans

      etc…
      le nom reste, mais c’est tout. Après si certains trouvent sympa de recycler certains gimmicks de style, pourquoi s’en priver?
      il suffit de mettre une Goelette de 1950 à côté de la nouvelle pour se rendre compte qu’il n’y a rien en commun, sauf la capacité d’emport.

    3. @LEVEQUE : Imaginez ce pauvre Porsche qui n’a plus de génie et réutilise à qui mieux mieux un nom sorti en 1963 ! Une honte !

      Ou Toyota et sa Corolla de 1966 ! Et que dire de MINI qui se base sur un nom de voiture de 1959 !!! La honte internationale dites donc.

      Ce qui est amusant c’est que tous les constructeurs ou presque le font…les Allemands avec leurs « Klasse » ou leur Séries par exemple, Ford avec les F-Serie….le F-150 date de 1948 hein 😏 mais il n’y a que Renault qui a droit à votre prose ? Ce serait à creuser…. 😉

  3. Ce ne sont que des noms qui peuvent passer comme « nouveaux » pour qui ne les a pas connus. Au final ce qui est intéressant c’est (ce sont) le (les) véhicule(s) et une approche novatrice de l’utilitaire, en attendant les fiches techniques. Et, pour finir, cette alliance entre 3 belles entreprises semble prometteuse.

  4. Ben Renault seul c’est plus dynamique que Renault qui doit privilégier Nissan pour ne pas que l’Alliance tombe.

    C’est frais, sympa … on espère que cela prendra car ils le méritent.

    1. C’est assez couillu, je ne miserai pas un euro sur du VU VE……
      Les pro qui y ont goûté reviennent aux thermiques….. trop galère……

      A part Oui-Oui le parisien……..

        1. c’est toujours pareil, faut s’assurer que l’usage correspond à la fonction.
          je roule en VE professionnellement car je ne fais que 1 ou 2 fois par mois un trajet qui me demande de recharger durant le voyage, mais pour l’utilitaire j’ai choisi un diesel, il n’y a pas aujourd’hui d’utilitaire électrique adapté aux trajets longs.
          on verra bien avec celui ci en 800V

          1. @Amazon… Exactement !
            On m’avait raconté qu’une société qui avait une flotte de voitures pour ses techniciens que devaient voir leurs clients tous les jours de 50 à 200 km en A/R du siège de la société.
            Ils avaient commencé avec une flotte de Zoé vers 2015…. Résultat : des nombreux problèmes de disponibilité… à l’époque la Zoé n’avait que peu d’autonomie a peine plus de 150 km et certaines n’étaient pas totalement chargés le matin.
            Puis, ils sont passés par la Zoe de 2017 … 90 % des problèmes ont disparu !
            Puis, ils ont renforcé avec les Zoe de 2020 … 100 % des problèmes n’existaient plus !!!

            L’histoire de L’expérience des professionnels date souvent de 5 à 10 années avec des modèles qui ne dépassaient parfois les 100 km en charge… Ça n’existe plus aujourd’hui !

            De plus en tant que particulier… Faites l’expérience de demander à un artisan de venir travailler chez vous à plus de 100 km de chez lui, même grassement rémunérer… Dans 99 %, il refusera !

            Apres, il reste un besoin d’utilitaire pour faire régulièrement plus de 200 km par jour sur autoroute… Effectivement… Le diesel moderne est encore merveilleux !
            Mais cela ne dépassera jamais 20 % des cas.
            Presque toutes les énergies se justifient en fonction de ses besoins.

  5. Bien vu de la part de Renault… Si des véhicules doivent passer à l’électrique… c’est bien les utilitaires dans 3/4 des cas.
    Connaissez-vous des utilitaires légers faisant régulièrement plus de 300 km par jour !?
    … Alors, oui, ça arrive… Mais combien ?

    Dans un thème proche :
    Quand Citroën s’inspire du Type H du carrossier italien Caselani.
    Citroën à de l’or dans son histoire pour cartonner.
    Avec une 2 CV fourgonnette ou Acadiane électrique des temps modernes

  6. Ils sont stylés, ça bouge chez Renault avec De Meo.

    Et ils ont bien fait ça puisqu’il semble avoir mis les feux de jour en position élevée, et les feux de croisement en position basse, pour ne pas les avoir dans les rétros, chose très fréquente sur les VU et très très chiante.

  7. Flexis =
    Renault Group 45% , Volvo Group 45% et CMA CGM Group 10%
    Philippe DIVRY, le patron de Flexis vient de chez Volvo …. et pas de chez Renault ….
    Pour la famille milliardaire ( 500 navires privés ) Saadé , d’origine Syrienne / Libanaise …. l’intérêt d’être dans Flexis ? ….
    Saadé propriétaire aussi de RMC ou BFM TV racheté à Patrick Drahi et actionnaire de M6, W9, 6ter Gulli Paris Première, Téva, Canal J, RFM TV, MCM RTL, RTL2 et Fun Radio … passe encore … mais Flexis ?
    Renault est minoritaire avec seulement 45% …. espérons que Volvo en vende sous sa marque un peu partout dans le monde …. sinon aucun intérêt ….

    1. Autant je n’ai pas compris ce que la CMA CGM (enfin, son propriétaire) vient faire dans les médias, autant ça me semble logique de le voir dans le transport, c’est un peu son coeur de métier quand même. Avec cette gamme d’utilitaires, la CMA CGM est dans le transport intercontinental et dans le transport des derniers km. Si jamais ils se mettaient à faire du PL, ils seraient présent sur toute la chaine entre l’usine en Chine jusqu’au magasin en France.

      Quand à Renault minoritaire avec 45%, ils ne me semblent pas plus minoritaire que Volvo qui a aussi 45% 😉 Je vois plutôt un groupe sans actionnaire majoritaire, avec la CMA CGM qui joue les arbitres entre Renault et Volvo en appuyant l’un ou l’autre en fonction de son humeur. Si Renault et Volvo n’arrivent pas à se mettre d’accord, c’est eux qui dicteront le choix, il y a pire comme position quand même, surtout avec seulement 10% de l’entreprise ^^

      1. Volvo n’a pas de gamme utilitaire léger.
        Renault la lui offre sur un plateau, en échange de 45% des parts de la société.
        Renault a dû apporter son savoir des brevets s’il y en a, une usine d’utilitaire léger et Volvo (enfin les actionnaires chinois) ont apporté du Cash, tout comme CMA CGM.
        les 2 constructeurs sont gagnants, CMA renforce sa compétence logistique.

          1. +1
            Ok je ne savais pas que Renault Trucks commercialisait aussi les utilitaires légers de Renault! Mais pas en France si? On peut acheter le même véhicule chez Renault et Renault Trucks?

            Maintenant je suis perdu: la co-entreprise est entre Renault Group et Volvo Group et CMA-CGM pour concevoir les futurs utilitaires légers qui pourraient du coup être commercialisés par:
            Renault Group (Renault et Dacia et Alpine 😉 ) volvo Group (renault trucks, volvotrucks, Mack, Dongfeng?)

          2. En rêve …. les 10% auraient pu être Mercedes ou Nissan ….. les anciens alliés ….
            Quand Mercedes est trop cher …. certains achètent Mitsubishi Fuso appartenant à Mercedes ….. c’est moins cher …. double , triple etc … marques tous budgets pour un seul propriétaire.
            Espérons que le logo Volvo ou Mack ou … xxx apparaisse dessus à l’autre bout du monde .

  8. Volvo Group dans le poids lourd, c’est Volvo Trucks, Renault Trucks, Mack Trucks + des JV.
    La co-entreprise Flexis permet de completer la gamme actuelle de VU pour les 2 groupes.

    Et oui, le meme vehicule peut etre acheté chez Renault ou chez Renault Trucks en France et dans toute l’europe. C’est une question de flotte clientèle et de service qui oriente les clients chez l’un ou l’autre.

  9. le tube HY Citroën et l’Estafette étaient les autos de mon enfance ( je les conduisais , le tub à 9ans,l’estafette au toit surélevé moteur dauphine, je devais avoir 10 ans, on vivait à la campagne ,il y a prescription ) j’ai la critique toujours dithyrambique sur majorité des véhicules actuels totalement surdimensionnés, Mais autant je porte les compliments et suis admiratif du travail réalisé sur les nouveaux utilitaires contemporains . On a perçu les qualités routières . Le passage à l’électrique est même positif . Les noms qu’on a connus attribués: ce n’est pas une paresse des bureaux d’études . C’est étudié pour .Un utilitaire est volumineux obstrue la visibilité dans le panorama de tous . Certes, Mais si on est civil on comprend le gars qui travaille.

    1. Ah pour moi gamins… c’était des affreux utilitaires extrêmement démodé et vieux… Je trouvais ça laid.
      … Maintenant, en prenant de l’âge, j’ai de la nostalgie et je trouve les réalisations du carrossier italien Caselani magnifiques !
      Avez-vous vu de ce qu’il on réussit à faire de l’AMI !? Incroyable… Mais pourquoi Citroën ne surfe pas sur cette vague de nostalgie ?

  10. Le mixte nucléaire / EnR + flotte d’utilitaire électrique en France est sur le point de devenir un véritable « game changer” pour notre économie.
    Et si en plus cela peut booster l’emploi … que demande le peuple !?

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