Catégorie : Ecologie

salon allemand. C’est justement de cette petite citadine 100 % électrique dont il est question dans ce billet. On fera pour l’heure avec les maigres données techniques concrètes grâcieusement livrées par le constructeur coréen. C’est à dire peu.

Il n’y a que le premier million qui coûte. Toyota pourrait en faire sa devise, puisque si ce premier million a pris dix ans entre 1997 et 2007, le second n’en aura pris que deux. Toyota vient en effet d’annoncer avoir passé, en incluant Lexus, la barre des deux millions de voitures hybrides vendues dans le monde au 31 août 2009.

Parmi son arsenal qu’il dévoilera ou présentera en première mondiale au Audi ne dévoile rien de concret sur le plan technique. Mais à quelques jours de la manifestation allemande, le teasing démarre sérieusement sur le plan communication.

Avant leur première mondiale sur les moquettes du constructeur allemand envisage pour l’heure des ventes assez confidentielles par rapport à ses volumes globaux ou plus largement par rapport aux modèles hybrides déjà commercialisés aux USA, certes dans une autre gamme et tranche de prix.

Pas d’ambiguïté chez Toyota au prochain salon de Francfort : Lexus sera hybride, et la maison mère aussi. Et dans un parallèle intéressant avec la marque de luxe et sa nouvelle compacte, Toyota présentera une préproduction de sa cousine directe, l’Auris HSD Full Hybrid Concept. Et à côté de celle-ci, la Prius revient avec une prise de courant.

Après l’esquisse, le teaser : Lexus distille une image et quelques informations complémentaires sur sa compacte qui sera dévoilée en première mondiale à Francfort dans quelques jours. Il s’agit pour cette première apparition, on s’en doutait un peu, de la version hybride qui reçoit un de ces noms poétiques et évocateurs dont Lexus a le secret : LF-Ch.

Après Think vient d’obtenir le feu vert de la cour norvégienne la restructuration de sa dette. Comme prévu donc la production quitte la Norvège pour la Finlande où elle sera assurée par Valmet Automotive. L’arrivée de nouveaux investisseurs privés ainsi que l’injection d’argent, à hauteur de près de 33 millions d’euros, permettent au petit constructeur de repartir sur le bon pied.