Bon, en termes d’appellation de véhicules, Mercedes va nous perdre. Il y a déjà la EQE, une grande berline de 4,95 m de long, 100% électrique. Eh bien il y aura le EQE SUV que Mercedes présente comme une variante « multi-purpose » (soi-disant plus pratique donc).
Construit sur la plateforme électrique Mercedes-EQ, ce SUV sera « l’un des plus spacieux de sa catégorie » selon la firme à l’étoile. Avant de découvrir un véhicule qui devrait donc ressembler à la EQE ballonnée, Mercedes nous dévoile l’intérieur. Un intérieur numérique à outrance avec le MBUX (*) Hyperscreen (option), cette immense (fausse) dalle qui va d’une portière à l’autre. Mercedes insiste sur le fait que les écrans haute-définition se joignent de façon imperceptible. On demande à vérifier bien entendu.
Un SUV plus que premium ?
On retrouve le design « turbine » pour les aérateurs droite et gauche qui entourent l’hyperscreen qui ressemble à une flaque d’eau étale (ou à une plaque de cuisson vitrocéramique, c’est selon). L’hyperscreen est visuellement poursuivi dans les contre-portes par les matériaux, mais aussi les limites de couleurs et les surpiqûres. C’est beau, c’est très beau, même. On notera dans les contre-portes les boutons des réglages de sièges qui ne sont pas sur la base d’iceux.
Cet intérieur devrait être disponible en cinq combinaisons de couleurs. Ici, on a une coordination entre le marron Balao et du gris Neva. Dans cet intérieur, Mercedes y glisse aussi du bois avec des inserts d’aluminium. D’autres parties sont découpées au laser pour une finesse de définition et de finition. La marque Mercedes du toujours plus en quelque sorte.
(*) MBUX = Mercedes Benz User eXperience, l’interface Homme-machine de chez Mercedes
Merco-Benz est vraiment au dessus du lot : quel intérieur magnifique.
Dire que certains continuent à comparer une roturière Tesla avec une voiture finie comme ça.
Ce qui serait intéressant de connaître, c’est le nom(s) du (des) fournisseur(s)
Comme on connaît les noms des équipementiers dans un avion qui ne volera que dans 3 ou 4 ans.
C’est marrant que le domaine de l’automobile ait plus secret que l’aviation.
hummm.. une histoire de certification ? Et puis un avion ça vole donc la traçabilité est bien plus sévère, et puis il y en a moins, bref, tu choisis ta meilleure solution 🙂