Essai Suzuki Swift 1.2 VVT : un visage connu (1/2)
par Nicolas Morlet

Essai Suzuki Swift 1.2 VVT : un visage connu (1/2)

Si d’apparence la nouvelle Swift présentée au Salon de Genève semble n’être qu’une évolution de la précédente génération, il n’en est rien ! Il s’agit bien d’une toute nouvelle voiture qui capitalise sur le succès de la précédente mouture tout en essayant d’en gommer les principaux griefs, avec un souci du détail plus poussé.

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Cela se voit surtout à l’intérieur, où le meuble de bord renonce à sa console centrale au plastique noir brillant à l’aspect très cheap, pour adopter quelque chose de plus sérieux, tant  dans sa présentation que dans son agencement et la qualité de ses matériaux. Cette qualité, on la retrouve d’ailleurs un peu partout à bord. Alors, certes les plastiques sont toujours durs et sensibles aux rayures et on n’est pas encore au niveau d’une européenne de dernière génération, mais le bond qualitatif est certain.

La présentation aussi a été plus soignée, tant pour les compteurs, cerclés d’une touche de simili-chrome, que pour les inserts ou les contre-portes. C’est propre, sérieux et ergonomique.

Mais la Swift a tout de même conservé quelques très mauvaises habitudes de sa devancière, à commencer par son coffre de 211 litres (ce qui le place dans la moyenne inférieure de la catégorie) peu pratique à l’usage à cause de sa hauteur et de son manque de profondeur, et qui est qui plus est mal desservi par un seuil de coffre situé très haut.

Constat similaire aux places arrière où, si l’espace est plutôt correct, l’accès n’est pas des plus aisés à cause de l’étroitesse de l’ouverture des portières.

Sans verser dans le luxe, la Swift offre un équipement de série plutôt correct, puisqu’on retrouve, de série, les vitres électriques, le double airbag  frontal et les airbags latéraux et rideaux dès la finition d’entrée de gamme. L’équipement s’enrichit ensuite en montant en gamme jusqu’à atteindre la finition Grand Luxe Xtra de notre modèle d’essai, alors riche de la climatisation automatique, de l’allumage automatique des phares, du régulateur de vitesse, des phares antibrouillard, du démarrage sans clé et des jantes en alliage de 16 pouces.

Enfin, pour ce qui est de la présentation extérieure, la Swift 2010 conserve les grands traits de la précédente génération, avec des lignes verticales aux angles bombés que certains n’hésitaient pas à comparer à l’époque avec celles de la Mini. Le pare-brise conserve aussi ses montants noirs, tandis que les feux gardent leur emplacement et leur forme et prennent juste un peu de largeur. Des retouches qui confèrent à l’auto une allure plus affirmée, mieux campée sur ses roues, encore mise en exergue par le pack sport dont était habillé notre modèle d’essai (jupes latérales, boucliers plus enveloppants et becquet au sommet de la lunette).

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Essai Suzuki Swift 1.2 VVT : Vivacité d'esprit (2/2)

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Pour résumer

Si d’apparence la nouvelle Swift présentée au Salon de Genève semble n’être qu’une évolution de la précédente génération, il n’en est rien ! Il s’agit bien d’une toute nouvelle voiture qui capitalise sur le succès de la précédente mouture tout en essayant d’en gommer les principaux griefs, avec un souci du détail plus poussé.

Nicolas Morlet
Rédacteur
Nicolas Morlet

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