Laissons tomber un instant manettes, volants et consoles, et redevenons désespérément analogiques pour quelques heures, le temps de manier les ciseaux et de se retrouver avec quatre superbes monoplaces imaginaires mais évocatrices des Grands Prix d’il y a longtemps, très longtemps sur son bureau. Pas de sponsors, pas d’ailerons ni de zigouigouis aérodynamiques en carbone à répandre dans les rues des Principautés en jouant au billard entre les glissières, juste un assortiments de fusées de métal (en papier) à quatre roues aux couleurs nationales avec un gros numéro et un pilote a la mâchoire carrée sous son casque de toile.
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