Aussi curieux que cela puisse paraître, il n'y a pas de faute de frappe dans le titre de la note, et pas plus de délit de contrefaçon, étant donné que le possesseur japonais de cette réplique ironique ne cherche pas à faire passer les vessies pour des lanternes. Il s'agit simplement, comme on l'avait déjà constaté avec une Mini cartoonesque du même tonneau, d'un hommage bricolo à une voiture dont on se souvient avec affection au pays du Soleil Levant comme d'ailleurs tout ce qui porte des roues et sort d'une usine de la botte transalpine.
Zapping Le Blogauto Essai de la Volkswagen ID3 (2023)
Aussi curieux que cela puisse paraître, il n'y a pas de faute de frappe dans le titre de la note, et pas plus de délit de contrefaçon, étant donné que le possesseur japonais de cette réplique ironique ne cherche pas à faire passer les vessies pour des lanternes. Il s'agit simplement, comme on l'avait déjà constaté avec une Mini cartoonesque du même tonneau, d'un hommage bricolo à une voiture dont on se souvient avec affection au pays du Soleil Levant comme d'ailleurs tout ce qui porte des roues et sort d'une usine de la botte transalpine.
Cette fausse Autobianchi A112 repérée dimanche dans le paddock de l'Historic Automobile Festival In Japan qui se tenait sur le circuit de Motegi doit son curieux patronyme à la voiture qui sert de base à cet exercice de maquillage hilarant: l'Autozam Carol, dont le nom témoigne de l'époque révolue où Mazda tentait de séparer sa gamme en plusieurs marques au Japon. Autozam en était une et la Carol de 1989, dérivée de la Suzuki Alto (elle l'est toujours de nos jours), avait une carrosserie spécifique que l'on ne fait que deviner sous les lourdes modifications subies par cet exemplaire.
Plus discret, mais là aussi un clin d'oeil appuyé à la micro-sportive italienne, une Suzuki Lapin à quelques mètres de là arborait une peinture rouge et noire du meilleur effet.
Il est évident que ces autos ne risquent pas de se retrouver au Concours d'Elégance de Tokyo l'année prochaine, mais elles apportent un ingrédient que l'on ne trouve malheureusement qu'à dose homéopathique dans le monde de l'automobile: l'humour. Que le propriétaire de cette Autozamnchi en soit remercié.
Aussi curieux que cela puisse paraître, il n'y a pas de faute de frappe dans le titre de la note, et pas plus de délit de contrefaçon, étant donné que le possesseur japonais de cette réplique ironique ne cherche pas à faire passer les vessies pour des lanternes. Il s'agit simplement, comme on l'avait déjà constaté avec une Mini cartoonesque du même tonneau, d'un hommage bricolo à une voiture dont on se souvient avec affection au pays du Soleil Levant comme d'ailleurs tout ce qui porte des roues et sort d'une usine de la botte transalpine.