Catégorie : Histoire

Ode à la Toyota 2000 GT

25 novembre 2006, 11 heures. Aprés être arrivés un à un sous les ovations, les pilotes Toyota d’hier et d’aujourd’hui se regroupent, Ralf Schumacher en guest star, autour du vice-président de la marque, face à la tribune principale du Fuji Speedway. Une petite pluie fine voile un peu la scène, mais le dirigeant entame imperturbablement le discours d’ouverture du Tokyo Motorsports Festival 2006. Quelques phrases plus loin, pourtant, un phénomène étrange se produit: la masse compacte des photographes face aux pilotes se met à perdre des éléments sur sa droite, et les têtes dans la tribune se tournent les unes après les autres dans la même direction: une vingtaine de Toyota 2000 GT émergeant phares allumés de la grisaille viennent se ranger sur la grille de départ.

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Brève rencontre: Austin Maestro/Montego

Austin-Rover est une source quasi-inépuisable d’idées de post pour « Brève rencontre ». De l’Austin Maxi à la Roewe 750, ce n’est qu’une succession de voitures « ill-fated » comme disent les anglais. La légende veut qu’en 1982, lorsque Roy Axe (ex-designer de Rootes) vit les futures Maestro et Montego, ses premières paroles furent: « On peut les empêcher de sortir? »

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Centenaire en vallée de Seine

A quelques jours près, les clubs Lancia ont fêtés le centenaire de la marque. Ce week-end, ils sétaient donnés rendez-vous en vallée de Seine, près de Rouen, pour une sortie touristique intitulée « Lancia en Seine ». Sous légide du Lancia Héritage, sorte de fédération qui regroupe une dizaine de clubs de passionnés de la marque, une trentaine déquipages ont parcourus les routes de Normandie.

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TransAfricaine Classic : galères, souvenirs et bonheur ! Partie 2/2

Comme chaque rallye-raid africain, les choses nont pas été faciles et les galères se sont enchainées, écrivant de nouvelles pages de lhistoire automobile. Problèmes politiques et menaces armées tout dabord. Lorganisation a dû modifier ses plans et contourner le mur qui sépare le Maroc de la Mauritanie. Au bout de 48 heures de négociations, le rallye a pu reprendre son court. Par la suite, et malgré trois tonneaux, léquipage antillais N°53 Vincent Moutou et Sylvain Corroy, réussi à remettre en état un minimum lauto pour continuer la course.

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