Auteur/autrice : Joest Jonathan Ouaknine

« Quand je vois une Alfa Romeo, je tire mon chapeau » disait Henry Ford. Dans la grande famille des « coupés Bertone » (le cabriolet était signé Touring), je voudrais la 2000 GT Veloce (alias GTV.) Produite de 1971 à 1977, elle était l’ultime représentante de la lignée. C’était l’époque où BMW courait après Alfa (et non l’inverse) et où elles avaient les « bonnes » roues motrices.

Jusqu’aux années 70, les constructeurs Américains pensaient que « économique » était un gros mot. Puis ils se mirent aux « sub-compacts ». La plupart étaient des voitures Européennes rebadgées (Ford Fiesta, Opel Kadett/Chevrolet Chevelle…) Mais les Américains créerent également leurs propres compactes, comme la Pinto.

J’adore les Maserati depuis la Biturbo. Par honnêteté, il faut reconnaître que la finition de la Quattroporte reste en deçà de ses rivales allemandes. Mais ces dernières ont des looks de panzers. En plus, qui sait réellement utiliser leurs ordinateurs de bord? J’ai travaillé pour Audi et au bout de six mois, celui de notre A8 W12 n’en faisait plus qu’à sa tête, malgré l’intervention de deux garagistes.

Je vous avais promis une Clio avec sapin magique. Cet après-midi, j’ai vu mieux: une Clio de compétition. Je ne sais pas dans quel catégorie il s’aligne, mais il est motivé! Déjà, il peut se mesurer avec la Rover « Autobacs ». Alors que dans mon quartier, c’est plutôt « Renault Scenic et 407 ». Comme d’habitude, je précise que cet article est à prendre au deuxième degré. D’ailleurs, tous les passants étaient morts de rire en la voyant!

Pour le tifoso, une Ferrari V8 ou une Ferrari 2+2 fut longtemps considérée comme un sacrilège. Alors imaginez le calvaire d’une Ferrari V8 2+2… Pourtant, Ferrari fit de nombreux efforts pour tenter de vendre la Mondial. Comme disait James May: « Depuis le retour en gràce de la Dino 308 GT4, la Mondial devient la Ferrari la plus détestée. »