L’impensable est arrivé. Dans une situation financière pour le moins délicate, Volkswagen cessera la production dans une usine en Allemagne. Une première depuis la création du constructeur qui a néanmoins déjà fermé des usines dans d’autres pays.
Tout un symbole. L’indestructible numéro un européen met un genou à terre et se retrouve contraint à fermer une usine sur le sol national. Ce à quoi il s’était toujours refusé. Et pour ajouter à la force du symbole, c’est l’usine de Dresde qui doit fermer ses portes. Certes, cette usine n’a jamais atteint sa capacité de production maximale, avec seulement 200000 voitures assemblées… en 23 ans. Créée spécialement pour produire la berline haut de gamme Phaeton, elle est alors de son ouverture le fleuron du constructeur. À la fois vitrine technologique et démonstrateur de la production automobile du futur avec ses parquets blonds et ses vitrages auxquels elle doit son surnom d’usine de verre.
Le site ne disparaît pas. Il sera converti en campus de recherche dans des domaines de l’IA, l’électronique ou la robotique, en partenariat avec l’Université Technique de Dresde. L’investissement sera de 50 millions d’euros étalés sur sept ans.
La situation en Chine responsable indirecte
De façon indirecte, cette usine est la première grande victime européenne de la croissance des constructeurs chinois. En effet, Volkswagen supportait depuis déjà depuis plus de 20 ans les coûts de cette usine sous-exploitée. Il pouvait alors se le permettre grâce à une santé financière basée sur sa réussite en Chine.
Aujourd’hui, c’est le contraire. Les finances sont exsangues à cause de la situation en Chine. Le groupe a perdu près de 50% de ses volumes de ventes sur le premier marché mondial en cinq ans. Il a choisi d’y investir massivement dans l’espoir de sauver les meubles.

Ben ils ont appris aux chinois à faire des voitures et ont reussi a rendre Audi has been. Comme quoi … Ben le marché de consommation ce sont bien des modes …
Bonne nouvelle pour la France , l’Allemagne est 100% pour le traité UE-Mercosur, censé faciliter les échanges commerciaux de bagnoles entre les deux blocs. moins l’Allemagne produit de bagnoles sur son sol et les exportent en Amérique latine, mieux se portera le monde agricole français.
Avec les journalistes d’info TV au QI de chimpanzés, — aucun chiffre — , toujours la même phrase de propagande , d’intox … = Allemagne / voiture made in Germany = exportation = ventes Mercosur . La non importation = fabrication directement en Amérique Latine . Le pourcentage du total ? mystère total , ou interdiction d’en parler dans la dictature Bruxelles / Macron /Euro ………
une info internet pas encore censurée:
Il faut noter que les droits de douane actuels de 30% sur l’automobile ont fortement incité les industriels étrangers à s’installer sur place plutôt qu’à payer ces derniers. Tant convoité, l’accord avec le Mercosur n’apportera donc pas autant de nouveau marché qu’espéré, puisque de nombreux constructeurs européens produisent et vendent déjà dans ces pays. C’est le cas de Stellantis ou encore Renault, qui proposent une gamme spécifique produite localement, différente de celle proposée en Europe.