Spyshots : Byd M3
par Joest Jonathan Ouaknine

Spyshots : Byd M3

Depuis sa création, Byd s'est lancé dans deux directions. D'un côté, les voitures électriques, à fort contenu technologique. De l'autre, le mercantilisme le plus cynique : copier sans scrupule (pour réduire les coûts et les délais), puis chercher à envahir le marché. Cette dernière voie l'a mené au bord du gouffre. On pensait que depuis, il s'accrochait à son ambition d'être "l'Apple de l'automobile". Mais l'appât du gain reste trop fort...

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Depuis sa création, Byd s'est lancé dans deux directions. D'un côté, les voitures électriques, à fort contenu technologique. De l'autre, le mercantilisme le plus cynique : copier sans scrupule (pour réduire les coûts et les délais), puis chercher à envahir le marché. Cette dernière voie l'a mené au bord du gouffre. On pensait que depuis, il s'accrochait à son ambition d'être "l'Apple de l'automobile". Mais l'appât du gain reste trop fort...

Parmi ses nombreux projets, il y a un van, le M3 (ex-C6.) Un projet né en 2010, ressuscité en 2013. Stratégiquement, il est très important, car le segment est en pleine croissance en Chine.

Les premiers croquis laissaient craindre un clone de NV200. Effectivement, Byd semble avoir glissé le van Nissan dans une photocopieuse géante. Seul l'avant est légèrement remodelé (photos à voir ici.) Une version rallongée, à 7 places, serait à l'étude.

Pour le moteur, on parle d'un 1,5l (essence) 107ch. Mais une version hybride, équipée d'un moteur électrique 30kW (43ch) serait prévue.

On parle d'un prix de 75 000 yuans (9 000€), ce qui est un peu moins cher que le vrai. Le M3 devrait débuter officiellement à Pékin, en avril.

Source :

Auto.ifeng

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Pour résumer

Depuis sa création, Byd s'est lancé dans deux directions. D'un côté, les voitures électriques, à fort contenu technologique. De l'autre, le mercantilisme le plus cynique : copier sans scrupule (pour réduire les coûts et les délais), puis chercher à envahir le marché. Cette dernière voie l'a mené au bord du gouffre. On pensait que depuis, il s'accrochait à son ambition d'être "l'Apple de l'automobile". Mais l'appât du gain reste trop fort...

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