Le Blog Auto

Bien que la marque n’ait aucune homologation pour l’Europe, ni de distributeur officiel, elle était présente dans les allées cachées de Francfort. Les sourires ironiques ont fusé, tant par l’atittude des préposé(e)s aux dossier de presse qui ne savaient pas à qui donner le précieux sésame que sur la bonhommie très nature, pas un brin commerciale, de celui qui semblait être le chef ! Dans une éructation incompréhensible, il était capable de vous tendre le sac Geely sous le nez pour vous servir au plus vite. Pourtant le contenu recélait grassement un pin’s, une casquette, un stylo et accessoirement un cd dévoilant la gamme GEELY. Troisième sourire à l’énoncé des modèles qui s’étalent d’un bicorps HQ, à un FC en passant par un BL ou un MR et même un CK. Certains diront qu’on a bien eu la GS, c’est vrai ! Mais l’utilitaire PU est tout de même irrésistible. Il existe également une identité Luxe désignée sous le vocable Maple dont certains modèles évoquent furieusement de sombres ZX Citroën. Et si les moqueries n’étaient pas assez nourries, l’indigne peinture recouvrant le concept car CD égayant le stand risque bien de plier en deux les plus primaires autophiles de la planète. Le Concept qui semble tout droit sorti du cerveau d’un apprenti tuner de Mégane coupé ancienne génération peut être  toutefois trompeur.

Vous salivez à l’idée de vous offrir un gros 4X4 à 15000? Vous avez donc entendu parler de la Landwind, déjà en vente en Hollande et en Allemagne. Nous l’avons examinée au salon, très curieux que nous étions d’évaluer la qualité de cette auto made in China. De prime abord, elle impressionne, avec ses élargisseurs d’aile et ses marchepieds, tout en dégageant un air de déjà vu. En effet, elle rappelle furieusement l’Opel Frontera, ce qui parait-il est source de courroux chez les dirigeants de la GM. Mais un examen plus attentif met en valeur un assemblage peu rigoureux des éléments de carrosserie ainsi que des joints. A l’intérieur, on change d’univers. Finie la Frontera, bonjour tristesse. D’abord, l’habitacle dégage une odeur de raffinerie de pétrole épouvantable. Ensuite, les matériaux semblent tout droit sortis d’une usine russe, tandis que l’assemblage laisse rêveur. La postion de conduite s’avère malaisée puisque ni le volant ni le siège conducteur ne se règlent en hauteur. Toutefois, le design, quoique hyper conventionnel, ne choque pas.

Gert Hildebrand, boss du design de la marque MINI est tout sourire. Son concept de Mini break attise la curiosité et fait parler. On sait que le futur de MINI se conjuguera au pluriel puisque pas moins de 7 variantes sont prévues. La version break qui fait référence au Countryman boisée historique était un chemin obligé pour les stratèges de la marque. Il faut admettre que le concept respire la joie de vivre et que les nombreuses articulations des ouvrants sont à elles seules tout un poême. Le charme de la version originelle n’est en rien oberé par cet hommage qui, en l’état, ne devrait pas voir le jour. L’attrait du public doit considérablement rassurer les financiers de la marque qui entrent dans une période d’unvestissement massif sur le seul nom MINI. Les clients suivront ils? Le succès de la MINI "Resurection by BMW" laisse entrevoir de grandes espérances que les sourires autour du stand ne semblent pas compromettre.

Sophie Marceau en photo qui se dévoile, c’est bien, en vrai c’est mieux. Dans cet ordre d’idée, voici les photos de la Clio III quittant sa couverture, prises à Francfort. Elle a grandi, et cela se voit immédiatement: elle en impose, la petite Renault. Cet accroissement profite à l’habitabilité, en très nets progrès par rapport à celle de la génération précédente, à tel point qu’outre la Modus, la Mégane semble menacée. Mon mètre 88 se case sans problème à l’arrière, ce qui n’est pas forcément le cas dans la
Mégane. De son côté, la finition a progressé, et se situe dans la moyenne très haute de la catégorie, au-dessus de celle de la Punto III en tout cas. Mais attention, seuls les modèles haut de gamme ont droit au tableau de bord moussé, les autres se contentent d’un plastique dur peu agréable à regarder. Cela étant posé, l’assemblage reste toujours rigoureux.
Côté coffre, déception en revanche: d’une part, le volume est à peine moyen, d’autre part, a été conservée la barre de renfort à la base de la banquette, qui empêche d’obtenir un plancher plat.
Autre élément agaçant, typique des Renault modernes: l’accessibilité mécanique se montre déplorable, en raison à la fois des ineffables caches en plastique et du faible espace libéré par le capot, qui par ailleurs se passe de verrins hydrauliques. Bonjour la facture lors du changement de la courroie de distribution! La Punto apparait bien plus pratique de ce côté-là. Enfin, la roue de secours se trouve sous la voiture, non protégée: heureusement que l’on crève moins qu’avant.

Commençons cet article par le pedigree de cette Brabus : coupé 4 portes le plus rapide du monde ! Après cela, ajoutons quelques chiffres : V12 6.3 l double turbo de la SL 600 développant ici 730 ch à 5 100 tr/mn pour 1 320 Nm de couple bridé à 1 100 Nm dès 2 100 tr/mn, et quelques faits darmes : vitesse maxi de 350 km/h limitée électroniquement (ah bon çà allait encore plus loin ?), le 0 à 100 km/h en 4 s (dédicace à quelquun qui se reconnaîtra !), le 0 à 200 km/h en 10.5 s et le 0 à 300 km/h en 29.5 s !!! Et on obtient un V12 qui est de loin le moteur le plus puissant testé et certifié TÜV et renvoie les autres tuners jouer aux billes dans le bac à sable. La totalité de la puissance est transmise aux roues arrière via une boîte automatique à 5 rapports.
Les suspensions ont été bien entendu retravaillées et sont disponibles en 2 versions : confort ou sport. Tout comme les freins qui sont conséquents avec à lavant des disques céramiques ventilés de 375 x 36 mm à 12 pistons et à larrière des disques aciers de 355 x 28 mm à 6 pistons.
Côté pneumatiques, ce sont Pirelli ou Yokohama qui sy collent suivants les options retenues par le client avec une taille géante de 255/35 ZR à lavant et 285/30 ZR à larrière le tout en 19 pouces.