La voilà donc, la voiture la plus chère du monde, ex devrais-je écrire puisque celle qui lui subtilise la couronne, la Bugatti Veyron, trône à quelques dizaines de mètres de là, dans le hall principal. La Saleen S7, elle, est reléguée dans l’annexe, avec les petits constructeurs locaux, en face des savants cosinus de l’université de Keio venus exposer l’Eliica. Saleen débarque au Japon par la petite porte via la société Blue Flame, distributeur de pièces hautes performances pour les américaines. Et finalement c’est mieux ainsi, car on peut plus facilement s’en approcher et examiner le soin apporté à la fabrication, qui rappelle le sur mesure des Hot Rodders, comme d’ailleurs le rouge Candy Apple et les jantes chromées typiquement US.
Lire la suite