Le DTM, tout spectaculaire soit-il, ne doit son existence que par la bonne volonté de ses froids bienfaîteurs, les constructeurs. L’altruisme n’étant pas un canon de leur existence, ce qui, dans un contexte de concurrence féroce, est tout à fait compréhensible, la discipline sportive qui en émane doit justifier de son intêret marketing au risque de se voir simplement biffer au nom d’une présentation indécente d’une triste feuille comptable. OPEL a déjà jeté l’éponge, AUDI a tout juste été retenu par la manche, et MERCEDES doit constituer ses équipes avec des noms porteurs…
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