Attention, ici on parle de combustion d’hydrogène et non d’une pile à combustible et d’un véhicule électrique. Alpenglow arbore un design futuriste que l’on pourrait retrouver en piste dans les prochaines années. Mais c’est donc surtout l’utilisation de l’hydrogène comme carburant qui est le centre du projet. Pour se faire, Alpine fait plancher des motoristes qui ont travaillé en F1 par exemple.
Car si le moteur reste « à combustion interne contrôlée » (dit « à explosion), le comportement de l’hydrogène est différent de celui du carburant classique et c’est donc tout le moteur qu’il faut revoir. En revanche, cela permet d’utiliser par exemple du H2 renouvelable et ainsi envisager un sport auto encore plus durable (« sustainable »).
Le 10 mai 2024, on pourra donc découvrir la toute première version roulante d’Alpenglow. Cela se fera en marge du meeting des 6 Heures de Spa-Francorchamps (WEC). Et le prototype réalisera trois tours le 11 mai. Une double première donc, statique et dynamique.
Alpenglow incarne le futur du design d’Alpine en sport automobile, mais aussi pour les prochains modèles de série. C’est également le laboratoire de la marque pour de futures technologies de mobilité durable, avec un moteur à combustion interne à hydrogène qui permettra de décupler le plaisir de conduire. Une voie d’exploration pour la marque Alpine.
Sympa, sauf que les calculs ont été fait mainte fois. Notamment grace à la yaris gr de toyota qui fonctionnait aussi à l’hydrogène. Le volume que prend l’hydrogène à autonomie égale est juste monstrueux. Sans compter le bilan global « du puit à la roue » de l’H² dans le cas d’une combustion.
La très grand majorité des voitures rouleront au pétrole en 2100 mais l’industrie automobile européenne se sera suicidée (aura été suicidée ?) par le grotesque délire carbophobe.