Alfredo Altavilla a expliqué qu’Alfa Romeo souhaitait concentrer tous ses efforts sur le Stelvio qui pouvait être considéré comme la version break de la Giulia. Il est vrai que le premier SUV d’Alfa partage ses soubassements avec la Giulia et que le Stelvio Quadrifoglio n’a a priori rien à prouver sur le plan des performances. Mais, il n’est pas sûr que le marché européen se satisfasse uniquement du Stelvio. Sur le segment des familiales ou D, les breaks ont résisté à la déferlante des crossovers puisqu’ils représente 40 % des ventes en Europe, voire plus de 50 % en Allemagne.
Cela dit, cette mauvaise nouvelle sera vite oubliée une fois la Giulia Sprint dévoilée au prochain salon de Genève.
Source : Car
Source photo : Alfa Romeo
