Essai Range Rover TDV8 : Non, je n'ai pas changé (1/3)
par Nicolas Morlet

Essai Range Rover TDV8 : Non, je n'ai pas changé (1/3)

Il faisait froid et gris ce lundi matin là. La neige était déjà tombée, et d’autres chutes étaient encore annoncées pour la semaine. Pourtant, je m’étais levé tôt et de bonne humeur, puisque ce jour là, j’allais chercher une icône de l’automobile qui allait me véhiculer une semaine durant : le Range Rover. L’autre modèle emblématique du constructeur britannique, après le Defender SVX essayé en début d’année dernière, m’attendait, là, sur le parking, avec sa gueule imposante rafraîchie voilà quelques mois, dans sa version Vogue TDV8.

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Il faisait froid et gris ce lundi matin là. La neige était déjà tombée, et d’autres chutes étaient encore annoncées pour la semaine. Pourtant, je m’étais levé tôt et de bonne humeur, puisque ce jour là, j’allais chercher une icône de l’automobile qui allait me véhiculer une semaine durant : le Range Rover. L’autre modèle emblématique du constructeur britannique, après le Defender SVX essayé en début d’année dernière, m’attendait, là, sur le parking, avec sa gueule imposante rafraîchie voilà quelques mois, dans sa version Vogue TDV8.

Le Range, c’est une succes story qui dure depuis 1970. Du coup, quarante ans et deux générations (seulement) plus tard, la recette est restée inchangée : du luxe à foison et des capacités de franchissement hors du commun. Même en matière de style l’auto est restée très proche de son aînée, et quel que soit l’angle sous lequel on regarde ce Range 2010, on retrouve un air de famille certain avec les précédentes générations

Les lignes «taillées à la serpe» ont été conservées depuis la genèse de l’auto, ce qui n’a pas empêché les changements stylistiques. Ainsi, après un passage par des blocs optiques rectangulaires dans les années 90, dictats du design de l’époque obligent, le Range est revenu aux phares ronds en 2002. Enfin presque, puisque les projecteurs arrondis sont bien là, mais intégrés à des masques carrés pour un aspect plus moderne. A l’arrière aussi, les feux de cette génération apparue en 2002 viennent faire référence à la première génération en reprenant leurs places originelle, rejetés verticalement aux coins inférieurs de la partie arrière.

N’allez pourtant pas croire que le Range Rover se la joue néo-rétro en voulant à tout prix ajouter des clins d’œil au passé. Non. Le Range a posé les jalons du tout-terrain de luxe qu’il fait régulièrement évoluer depuis, mais toujours dans un souci de continuité, sans rupture. Une évolution qui colle finalement plutôt bien à l’image que l’on se fait de la clientèle type de l’auto, traditionnaliste et conservatrice, voire même, empreinte d’une certaine image aristocratique. Même si aujourd’hui, il est vrai, l’auto est aussi souvent le reflet de la réussite pour les chefs d’entreprises ou, à l’instar du Hummer, le SUV préféré des rappeurs bling-bling et autres illustres résidents de Beverly Hills.

Le Range Rover, c’est le SUV de tous les superlatifs. A l’instar d’une Bentley, d’une Aston Martin ou d’une Jaguar, le Range cultive une certaine idée du luxe automobile. Raffiné à souhait, il est capable de jouer les gentlemans la semaine, tout en se permettant d’en remontrer à bon nombre (presque tous d’ailleurs) de tout-terrain dans les chemins escarpés ou boueux le week-end.

«Mon» Range d’essai est tout de noir vêtu, avec vitres teintées noires. Le Belge (François Damiens) de Taxi 4 n’aurait sans doute pas demandé mieux !

On relèvera tout de même une petite pingrerie de la part de Land Rover puisque la calandre, d’aspect aluminium, est en fait en…plastique. Shocking !

Bon, c’est vrai que c’est certainement mieux comme ça en cas de choc, notamment avec des piétons.

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Il faisait froid et gris ce lundi matin là. La neige était déjà tombée, et d’autres chutes étaient encore annoncées pour la semaine. Pourtant, je m’étais levé tôt et de bonne humeur, puisque ce jour là, j’allais chercher une icône de l’automobile qui allait me véhiculer une semaine durant : le Range Rover. L’autre modèle emblématique du constructeur britannique, après le Defender SVX essayé en début d’année dernière, m’attendait, là, sur le parking, avec sa gueule imposante rafraîchie voilà quelques mois, dans sa version Vogue TDV8.

Nicolas Morlet
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