Année : 2009

Si à l’extérieur, cette Seat Exeo se démarque tout de même de l’ancienne Audi A4, à l’intérieur, elle ne tente même pas de maquiller ses origines germaniques. En effet, elle reprend exactement le tableau de bord de l’Audi A4 Cabriolet. Heureusement, il reste le sigle Seat sur le volant, sinon le conducteur pourrait avoir des doutes sur la marque de la voiture. Même les affichages reprennent les canons Audi, avec notamment la console centrale illuminée de rouge.

Alors oui, vous le savez sans doute déjà, mais la Seat Exeo est en fait une Audi A4 d’ancienne génération (A4 B7) dont quelques détails ont été changés pour l’intégrer à la famille Seat. Au total, c’est 70% des pièces de l’ancienne Audi A4 qui ont été reprises. Voila, c’est dit ! Ceux qui ne jurent que par le blason et qui pensent que le groupe VAG a commis là une trahison peuvent sauter directement à un autre article, cette voiture n’est pas faite pour vous.

Lorsque la I6 fut surprise, les paparazzi ont également mis la main sur un document interne avec les différentes nouveautés. Deux modèles y étaient jusqu’ici inconnu au bataillon: la I3 et la L3. Voici donc la L3, qui fut a son tour surprise en essai.

Si pour certains cinéastes la vie n’est pas un long fleuve tranquille, il en va de même pour le dossier une piste suédoise de dernière minute, les dirigeants de Geely se sont désormais fixés leur nouvel an national comme date butoir…

Alors que l’on prêtait aux constructeur chinois Chery des vues Termini Imerese en Sicile, ce afin de poursuivre son programme d’implantation sur le vieux continent, un porte-parole de la marque a tenu à apporter sa vision des faits. De l’art donc de démentir pour l’heure les informations parues dans divers médias internationaux et notamment italiens.

Après version découvrable d’ici à 2011. Ce roadster a été surpris par les photographes espions du site Autoblog en pleine séance de tests dans des conditions climatiques disons rudes ce dans le nord de l’Europe. Partiellement camouflée, cette version confirme évidemment les dernières photographies volées et le point technique central. S’il conservera son V8 6.2 l AMG développant 571 chevaux, le roadster prendra quelques kilogrammes afin d’assurer les renforts apportés à la structure.

Une Nissan GT-R avec un kit moteur HKS GT600, une petite préparation pour circuit et le Fuji Speedway, quoi de mieux pour une petite vidéo des plus sympathique !