Mois : juin 2006

Pour terminer notre essai de la Peugeot 207, pensons un peu à la sécurité et au produit en lui-même. Tout dabord, il est évident que la 207 sapproche davantage dune 307 que dune 206. Par la taille, mais aussi par laspect général. Ce nest dailleurs pas étonnant que la 206 continue sa carrière en parallèle. Même si la 206 reste attractive son niveau de prix en entrée de gamme, la 207 nexagère pas de ce côté. Ainsi, la version 3 portes HDI 90 ch essayée débute à 14550 euros en France et 14350 euros en Belgique. Évidemment, si on léquipe un peu ou que lon choisit des finitions plus intéressantes, il faut compter un bon 16000 euros. La 207 se distingue aussi par deux avant différant en fonction de la finition avec un capot sport au nez allongé.

Contrairement au Touareg Kong, la Geeky Kingkong ne doit son rapprochement (involontaire ?) avec le gorille hollywoodien qu’à une similitude de transcription de son nom en chinois dans le texte, puisque c’est de là qu’elle est originaire. Mais pas forcément résidente, ou en tout cas pas uniquement, puisque les motorisations disponibles, 1,5l, 1,6l et 1,8l sont aux normes européennes. D’ailleurs, la voiture a été développée avec le concours de sociétés en Italie et en Corée.

Le blason chinois CHERY, à la phonétique si sympathique à l’oreille américaine, va lancer sur le marché Outre-Atlantique son "cross-over" V5.

Décidemment, le dernier Grand Prix de Monaco aura fait de gros dégats dans les rangs tricolores du GP2. Après l’annonce du forfait de Nicolas Lapierre pour l’épreuve de Silverstone à la suite de son accident monégasque (double fracture aux vertèbres), voici que l’on apprend le forfait d’Olivier Pla. Blessé lors des qualifications à Monaco, les médecins viennent de lui détecter une fracture de deux os du poignet, nécessitant quatre semaines de convalescence.

L‘importateur Ferrari au Japon, la société Cornes, fête cette année ses trente ans de négoce en mécanique de précision d’Emilie Romagne. Une occasion de donner dans le grand classique du commerce automobile, la série limitée « anniversaire ». C’est la 612 Scaglietti qui s’y prête, via une production limitée à vingt exemplaires réalisés par Ferrari pour le compte de l’importateur et réservés au florissant marché nippon.

Rappelez-vous, lors de la première partie de l’essai de ces deux bolides, nous étions sur une autobahn et nous appretions à la quitter. En effet, titiller la vitesse maxi est intéressant mais pas si excitant que cela à vrai dire. Il nous fallait donc trouver une petite portion de route idéale, faite de virages plus ou moins serrés et de côtes qui nous permettraient de mettre en valeur les qualités et éventuels défauts du chassis.

Guillaume Moreau était en quelque sorte de retour au bercail après un week-end mouvementé à Oschersleben fin prêt à retrouver un circuit qu’il affectionne et qui lui donnait une 4ème place lan passé dans le cadre de la F3 Euro Série.