L'été dernier, une note sur la F430 Hamann avait déchaîné une tempête d'opinions bien arrêtées sur le droit ou non à s'attaquer aux vestales de Maranello, le déclin supposé des héritiers du maestro Farina et autres considérations sur l'éthique, ou son absence, des nouveaux clients Ferrari. C'était très divertissant, alors je ne voulais pas rater l'occcasion d'en remettre un couche avec cette nouvelle oeuvre de Hamann sur, cette fois un Spider jaune qui hérite des mêmes appendices que la berlinetta précédemment évoquée.
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L'été dernier, une note sur la F430 Hamann avait déchaîné une tempête d'opinions bien arrêtées sur le droit ou non à s'attaquer aux vestales de Maranello, le déclin supposé des héritiers du maestro Farina et autres considérations sur l'éthique, ou son absence, des nouveaux clients Ferrari. C'était très divertissant, alors je ne voulais pas rater l'occcasion d'en remettre un couche avec cette nouvelle oeuvre de Hamann sur, cette fois un Spider jaune qui hérite des mêmes appendices que la berlinetta précédemment évoquée.
Comme celle-ci, le spider reçoit un tablier, des jupettes et un aileron en carbone qui souligne le décolleté osé d'origine en plexiglas, par lequel le passant peut apercevoir le coeur battant de la belle italienne, un de ses atouts majeurs. Hamann ne prétend d'ailleurs pas y plonger la main, ce qui serait bien cavalier et pas digne d'un gentleman, mais propose une nouvelle ligne d'échappement qui met la mécanique à l'aise et du coup gratifie l'ensemble de 58 chevaux supplémentaires. La suspension et les roues sont également souabes, ainsi que les freins. L'intérieur peut également être retendu de cuir, encore que l'original n'étant pas en polystyrène on ne voit pas bien le but de la chose.
Je laisse le soin à chacun de se prononcer sur le travail de Monsieur Hamann, sachant que son affaire est suffisamment florissante pour que l'on ne doute pas qu'il y ait preneur pour ses bibelots en carbone kevlar.
L'été dernier, une note sur la F430 Hamann avait déchaîné une tempête d'opinions bien arrêtées sur le droit ou non à s'attaquer aux vestales de Maranello, le déclin supposé des héritiers du maestro Farina et autres considérations sur l'éthique, ou son absence, des nouveaux clients Ferrari. C'était très divertissant, alors je ne voulais pas rater l'occcasion d'en remettre un couche avec cette nouvelle oeuvre de Hamann sur, cette fois un Spider jaune qui hérite des mêmes appendices que la berlinetta précédemment évoquée.
