Enfin, un Land Rover Defender Pick-up

L’une des déceptions du renouvellement du Defender fut l’absence de nouvelle carrosserie pick-up. Heritage Customs vient combler cette lacune avec un Defender 130 pick-up personnalisable à souhait.

Le carrossier néerlandais n’en est pas à son premier coup d’essai sur la base du nouveau Defender. Outre une large gamme de personnalisations sur les différentes versions, il propose déjà une conversion en cabriolet de la version 90 à châssis court. Et voici donc à présent une conversion en pick-up. Pour donner naissance à un pick-up double cabine, c’est la version la plus longue qui s’y colle : le 130. Avec la motorisation V8.

Les lignes originales du Defender permettent une intégration assez naturelle de la benne arrière dans le prolongement de l’habitacle, et l’intégration de la cloison arrière est assez soignée. Et si l’habitacle est tendu de matériaux luxueux, le carrossier a eu la bonne idée de préserver une benne arrière prête pour des transports plus salissant. Curiosité dans l’univers du pick-up, ce Defender conserve l’ouverture latérale pour la porte arrière, issue du SUV, et non pas une ridelle plus habituelle.

L’offfre est aujourd’hui déclinée en éditions Heritage et Urban. Mais le travail d’Heritage Customs peut aussi laisser une large place à la personnalisation.

(8 commentaires)

  1. Ce defender n’est plus vraiment un utilitaire. Du coup la benne à du mal à se justifier.
    Mais s’il existe, il y aura bien un client qui le trouvera bien plus indispensable que la version break; par exemple:
    – retour de chasse, pour la carcasse du sanglier, le sol de benne est lavable (variante: Pour les expéditions nocturnes de jonathan daval, le GPS est désactivable)
    – transporter son VTT plein de boue
    – les bottes de l’architecte qui sort de la visite de chantier
    – le gentleman-farmer qui doit livrer un mouton (une vache ne rentre pas!) avec classe
    – le cavalier qui transporte son canasson dans le van, mais qui n’avait plus de place pour la botte de foin

    Voilà un début de story telling pour le market plan.

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