Modifications esthétiques peu visibles

A bord, on navigue dans un univers Volkswagen que certains détestent et d’autres adorent pour sa sobriété limite austère. Ce Touareg laisse aux concurrents plus « premiums » les petites touches de chic permettant de qualifier une voiture de luxueuse. Et pourtant, on s’y croirait, avec une finition et des matériaux au niveau de ses cousins, quelques éléments de raffinement en moins. A deux molettes près, la plupart des commandes sont tactiles.
L’instrumentation se compose de deux énormes écrans affichant plus d’informations que nécessaires. Même s’ils ne changent jamais de place, on regrette de ne pas avoir des boutons physiques pour la gestion de la climatisation et des sièges chauffants/ventilés. De la conduite semi-autonome à la caméra aérienne, ne cherchez pas, il y a tout. On ne manque pas d’espace à l’arrière, même si l’on s’attendait à un peu mieux. Rien à dire sur le coffre à la capacité généreuse de 610 litres. Un chiffre rare pour un hybride rechargeable de ce gabarit.
Peu de commandes physiques

Avec près de 2,5 t sur la balance, voire plus suivant le nombre de passagers et le chargement, à quoi peut-on s’attendre en termes de comportement? Les 700 Nm de couple font bien leur job pour oublier le poids à l’accélération, mais il se rappelle à notre bon souvenir au premier freinage. Rien de dangereux, mais on le ressent. Ce qu’il préfère, c’est d’abord de faire défiler les kilomètres d’un bitume d’autoroute sous ses roues. Le confort impressionnant avec ses suspensions pneumatiques s’apprécie surtout dans ces conditions.
Avec un R dans sa dénomination, on recherche tout de même une forme de dynamisme donnant du plaisir au volant. Il s’en sort plutôt bien, en limitant les mouvements de caisse malgré le centre de gravité si haut perché. On peut en titiller les limites, surtout sur nos routes jamais vraiment sèches, mais il y a peu de chances de voir un seul client tenter de faire du rallye avec. Toutefois, nous avons pu constater que monter en station se révèle être une simple formalité avec sa transmission intégrale intelligente et ses pneus neige. A moins de devoir naviguer dans un mètre de poudreuse, les équipements spéciaux ne s’avèrent pas indispensables.
Un confort royal

Le Volkswagen Touareg, le plus gros SUV du catalogue, profite de son restylage pour épurer aussi sa gamme en France. Il ne reste plus que deux finitions disponibles à la commande, Elegance et R avec une motorisation hybride dans les deux cas. L’électrification demeure la seule façon de garder un modèle pareil pour le constructeur sur notre territoire, compte tenu du contexte fiscal.
Les modifications esthétiques paraissent peu visibles au premier abord. A l’avant, ils seront peu à repérer les nouveaux feux intégrant 38 000 leds pour assurer un éclairage Matrix HD dynamique de premier ordre. Cela ne change pas véritablement son visage. En revanche à l’arrière on repère le bandeau lumineux et surtout au milieu le logo rétroéclairé la nuit en rouge. Un petit détail qui lui donne beaucoup de personnalité.
V6 turbo hybride

Sur nos routes de montagne enneigées et verglacées la plupart du temps, nous n’avons pas vraiment pu contrôler scrupuleusement l’autonomie électrique annoncée pour 51 kilomètres. Avec une batterie de seulement 14,3 kWh, Volkswagen n’a pas le meilleur équilibre en la matière, les concurrents dépassant désormais largement cette valeur, avec une autonomie plus grande. Même sur du plat, on s’imagine mal faire un aller-retour domicile/travail sans recharger à l’arrivée si l’on ne veut pas consommer une goutte de carburant.
En revanche, cette motorisation sert aisément les performances, avec un 0 à 100 km/h sur le papier exécuté en 5,1 s. Le revêtement glissant ne nous a pas permis de le vérifier. Toutefois il fait preuve de reprises confortables, faisant notamment des dépassements une formalité. En outre, on apprécie l’onctuosité du V6 turbo 3.0, plus sympathique à l’usage et à l’oreille que beaucoup de puissants 4 cylindres revendiquant des performances proches.
C’est un VW et les prestations sont bien en deçà de ce qu’offre Porsche avec son Cayenne, surtout sur les trains roulants.
Le problème du Touareg c’est sa décote vertigineuse qui annule son prix d’ami (par rapport à la concurrence, hein) : à comparer les LOA le client finalement se tourne vers plus prestigieux.
Le seul intérêt du Touareg c’est qu’un pékin moyen le confond avec un simple Tiguan : ça peut être utile pour qui veut rouler discret.
Intrinsèquement c’est une bonne proposition, à condition de passer par l’achat et d’envisager de le garder très longtemps. Revente très aléatoire, attention.
2,5 sur la balance …tout est dit …un gros caca chez VW …et le caca en électrique c’est du même tonneau et il suffit de lire sur AP l’histoire du gars qui a acheté en Corse une ID3 (beaucoup savent depuis longtemps que c’est du caca surtout hard et soft et même Auto Plus l’a dit et c’est grave).
VW c’est le groupe le plus endetté de l’Allemagne …mais pas de faillite demain matin …
Les ID sont des VE mignonnes et ils cassent les prix de leurs VE …que demande de plus le peuple !! Les salaires sont élevés en Allemagne …et des baisses de tarifs …vont faire saliver ! VW va vider ses stocks !!
L’arrogance des teutons fut telle il y a cinq ans qu’ils allaient vendre des million de VE qu’on ne peut qu’être MORT DE RIRE …tragiquement !!!
Le pantalon à la main …la ID3 est vendue 16000 euros en Chine !
Les idiots du marketing croyaient que tout cela n’allais pas ce savoir…et patatras le pantalon à la main aussi chez nous en Europe !!
Message personnelle ICI pour notre amie et chère rédactrice grande spécialiste du pétrole …et autres économies mondiales !
C’est dans le « Monde de l’économie » d’aujourd’hui !!!!!
« » Pour se sortir du piège que représente la baisse des prix et relancer la croissance, le gouvernement de Pékin mise sur l’industrie, en finançant massivement la métallurgie, l’automobile et les équipements électriques. Un déluge d’argent qui pourrait entraîner des surcapacités aux conséquences ravageuses pour la planète, juge Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
Cela peut devenir du LOURD ….mais c’est un possible débat ici …mais pas pour les petites têtes !!!
C’est une blague, car ils ont le pouce vers le bas facile !!