Quand Fiat est mis en difficulté, c’est le patron qui monte au créneau. C’est donc Sergio Marchionne qui une nouvelle fois est venu s’expliquer alors que les déclarations des autorités russes laissaient entendre que ses projets industriels dans le pays avaient du plomb dans l’aile.
Ses déclarations viennent confirmer l’intérêt du groupe pour le marché qui est devenu le plus grand marché du continent devant l’Allemagne. Et confirment aussi le retard. On ne parle plus de 2013, mais de 2014, et la capacité passe de 150.000 à 120.000. Mais surtout, ce n’est pas la marque Fiat qui est mise en avant. Comme le révèlent les ventes du groupe en Russie depuis quelques mois, c’est Jeep le fer de lance du groupe…
Source : Automotive News
