Le Ford Ranger Raptor est donc pour le moment inconnu en Amérique du Nord où Ford met surtout l’accent sur le F150. Hennessey en profite donc pour déployer son appellation Velociraptor sur le pick-up plus compact de Ford. Le préparateur texan peut d’ailleurs compter sur l’offre de base du Ranger dans la région, déjà généreuse. Le Ranger y est ainsi doté à la base d’un 4 cylindres 2.3 Ecoboost de 270 ch et 420 Nm. Pas mal face au 213 ch et 500 Nm d’un Ranger Raptor vendu en Europe avec son 2.0 diesel.
Pour le Velociraptor, le moteur Ecoboost grimpe à 350 ch et 522 Nm. Les ailes élargies sont reprises du Raptor, mais Hennessey ajoute sa propre évolution de suspension et ses roues. Au final ce modèle est rehaussé de 152 mm par rapport à un Ranger de série. La touche finale vient des rampes de LED intégrées au pavillon et dans le pare-choc avant. Le treuil est en option… Le prix ? 64 950 $ tout compris, ou 19 950 $ sur la base d’un Ranger existant.
L’avis de Leblogauto.com
Vu la puissance d’un Ranger de base aux Etats-Unis, Hennessey aurait sans doute pu se passer de la préparation moteur. Mais il en faut toujours plus. On attend désormais un Velociraptor Ranger 6×6 de 500 ch…
1ere phrase un peu compliquée pour un lundi matin…
« Le Ford Ranger Raptor a débarquée en Amérique du Nord. Mais les clients n’y auront pas droit à la version Raptor. »
–>débarqué(e)
–>un Raptor de trop dans la phrase?
Article pondu à l’arrache par le translator vu la tournure des phrases…
Qui est-ce qui a fourni les photos, avec des photoshops faits sous paint?