Essai Infiniti EX37 (2/3) : dans un cocon
par Bernard Muller

Essai Infiniti EX37 (2/3) : dans un cocon

A l’ouverture des portières, on est frappé par cet intérieur beige clair omniprésent (d’autres coloris sont disponibles, comme le gris, le brun et évidemment, le noir). On est loin de l’intérieur noir mat austère habituel chez les allemandes…

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Un intérieur douillet

Bien installé dans les sièges, on se sent comme dans un cocon ; enveloppé par les courbes du tableau de bord. C’est confortable, mais un peu massif. Il est évident qu’Infiniti est allé chercher ses influences de l’autre côté des Alpes plutôt que de l’autre côté du Rhin. Pour les habitués de la marque, on retrouve la fameuse montre analogique, de quoi préciser encore plus l’influence du style intérieur : c’est du côté de la marque au trident qu’il faut chercher l’inspiration.

Par rapport aux autres modèles de la marque (G ou FX), c’est l’intérieur du EX qui est le plus réussi. Les ajustements ne sont sujets à aucune critique, même si l’impression d’assemblage au micron des Audi ne se retrouve pas ici.

Mais pas très habitable

Cependant, si le tableau de bord massif et enveloppant, et les gros sièges moelleux participent au confort, celui-ci est au détriment des rangements. Pas de trappes sous le plancher, ni de bacs de rangement sous les sièges. Cet EX37 ne se veut pas une alternative luxueuse aux monospaces. Cette impression est confirmée à l’arrière ou l’espace pourrait être limite pour 3 adultes, et là aussi, peu de rangements.

Par contre, la cadre supérieur appréciera de pouvoir accrocher sa veste sur le cintre escamotable dans l’appuie tête du siège avant.

Le coffre lui aussi offre une contenance limitée (340l) et son seuil de chargement est haut perché. Il dispose d’une trappe contenant la roue galette de secours ou le kit anti-crevaison.

Heureusement, le sièges sont rabattable 40/60 électriquement, et là, rien de tel pour épater vos voisins. Car si les sièges se rabattent électriquement, ils se relèvent également au simple appuie du bouton dans le coffre. La grande classe.

Un équipement complet

Dans la version GT d’essai qui correspond à la finition haute, l'EX dispose déjà de  tout l’équipement que l’on est en droit d’attendre à ce niveau. Notre modèle était en plus, doté du « All around view », qui permet, à l’enclenchement de la marche arrière de voir l’entourage du véhicule telle qu’il serait vu d’au dessus. A l’usage, ce système devient vite bien plus qu’un gadget, surtout que la rétro vision est très limitée.

Mais il est temps de prendre la route. On appuie sur le bouton Start de démarrage, et autre surprise, le siège se remet dans sa position d’origine, et le volant s’avance vers le conducteur. En fait, pour faciliter l’entrée et sortie du véhicule, le volant se rétracte et le siège conducteur se recule au maximum à l’ouverture de la portière.

Comme nous avons pu le voir, ce SUV reprend de nombreux gènes de voitures de sport, mais enveloppé dans un intérieur luxueux. Ces gènes sportifs sont ils toujours présents sur la route ?

Voir aussi:

Essai Infiniti EX37 (1/3) : SUV ou voiture de sport ?

Essai Infiniti EX37 (3/3) : Vrai sportif ?

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Pour résumer

A l’ouverture des portières, on est frappé par cet intérieur beige clair omniprésent (d’autres coloris sont disponibles, comme le gris, le brun et évidemment, le noir). On est loin de l’intérieur noir mat austère habituel chez les allemandes…

Bernard Muller
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