Il y a des week-ends comme ça, où quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. La Scuderia Ferrari a connu un week-end anglais qui sans être aussi catastrophique que la première manche australienne, restera comme un gros ratage. Les choses débutaient pourtant assez bien avec le meilleur temps lors des essais libres 1 réalisé par Felipe Massa le vendredi avant que le pilote brésilien ne crashe sa F2008 dans le mur. Mais lors des qualifications, si Kimi Raikkonen parvenait à accrocher une respectable 3ème place sur la grille du Grand Prix, Felipe Massa devait se contenter de la neuvième place, la faute à une roue arrière récalcitrante qui lui fera manquer son dernier tour rapide. Pendant la course, malgré le ballet de figures libres de Massa dès les premiers tours, les choses se passaient plutôt bien avec un Raikkonen fondant sur Hamilton juste avant le premier pit-stop. Et là, tout bascule
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Il y a des week-ends comme ça, où quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. La Scuderia Ferrari a connu un week-end anglais qui sans être aussi catastrophique que la première manche australienne, restera comme un gros ratage. Les choses débutaient pourtant assez bien avec le meilleur temps lors des essais libres 1 réalisé par Felipe Massa le vendredi avant que le pilote brésilien ne crashe sa F2008 dans le mur. Mais lors des qualifications, si Kimi Raikkonen parvenait à accrocher une respectable 3ème place sur la grille du Grand Prix, Felipe Massa devait se contenter de la neuvième place, la faute à une roue arrière récalcitrante qui lui fera manquer son dernier tour rapide. Pendant la course, malgré le ballet de figures libres de Massa dès les premiers tours, les choses se passaient plutôt bien avec un Raikkonen fondant sur Hamilton juste avant le premier pit-stop. Et là, tout bascule
Kimi Raikkonen était en train de se rapprocher dangereusement de Lewis Hamilton à raison de plus dune seconde pleine par tour. Lorsque les deux hommes rentraient au stand simultanément à la fin de leur premier relais, Ferrari décidait de laisser ses pneus intermédiaires usagés au pilote finlandais pendant que McLaren remplaçait les gommes de son prodige anglais.
Choix catastrophique pour Ferrari : Sitôt ressorti des stands, Raikkonen perdait parfois plus de 4 secondes au tour sur la monoplace grise et rouge. Peu avant de retourner au stand, il roulait presque 10 seconde moins vite que les Renault, BMW et Toyota!
« Nous avons commis des erreurs stratégiques que nous ne devons plus répéter » regrettait Stéfano Domenicali.
« Cest plus facile à dire maintenant que nous ne sommes plus dans le feu de laction, mais nous aurions dû changer les gommes lors du premier relais de Raikkonen ».
Mais Ferrari ne sen sort finalement pas si mal que ça : Elle est toujours largement en tête du championnat constructeur et ses deux pilotes sont premiers ex-aequo. Le désastre du Grand Prix de Silverstone permet donc davoir un championnat plus disputé que jamais avec quatre pilotes en 2 points.
Gageons que la Scuderia fera mieux à Hockenheim et espérons que la pluie soit une nouvelle fois au rendez-vous : Plus ça glisse et plus cest bon.
Il y a des week-ends comme ça, où quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. La Scuderia Ferrari a connu un week-end anglais qui sans être aussi catastrophique que la première manche australienne, restera comme un gros ratage. Les choses débutaient pourtant assez bien avec le meilleur temps lors des essais libres 1 réalisé par Felipe Massa le vendredi avant que le pilote brésilien ne crashe sa F2008 dans le mur. Mais lors des qualifications, si Kimi Raikkonen parvenait à accrocher une respectable 3ème place sur la grille du Grand Prix, Felipe Massa devait se contenter de la neuvième place, la faute à une roue arrière récalcitrante qui lui fera manquer son dernier tour rapide. Pendant la course, malgré le ballet de figures libres de Massa dès les premiers tours, les choses se passaient plutôt bien avec un Raikkonen fondant sur Hamilton juste avant le premier pit-stop. Et là, tout bascule
