par Christophe Labedan

GP Masters: magnifique

Les organisateurs de ce championnat de rêve ne nous auront pas décu. Il faut dire que le risque était faible en affichant des noms tels que Mansell, De Cesaris, Fittipaldi, Lammers, Warwick ... la liste est trop longue pour les citer tous mais les nostalgiques de la F1 des années 70/80 se seront vite rappelés ce qui rendait ces championnats si passionants. Il Leone (Nigel Mansell) affublé de son légendaire Arai aux couleurs de l'Union Jack aura dominé cette course du début à la fin malgré une bande de vieux briscards au coup de volant toujours aussi précis et une hargne à faire palir d'envie les jeunes prétendants au poste de titulaire en F1.

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Les organisateurs de ce championnat de rêve ne nous auront pas décu. Il faut dire que le risque était faible en affichant des noms tels que Mansell, De Cesaris, Fittipaldi, Lammers, Warwick ... la liste est trop longue pour les citer tous mais les nostalgiques de la F1 des années 70/80 se seront vite rappelés ce qui rendait ces championnats si passionants. Il Leone (Nigel Mansell) affublé de son légendaire Arai aux couleurs de l'Union Jack aura dominé cette course du début à la fin malgré une bande de vieux briscards au coup de volant toujours aussi précis et une hargne à faire palir d'envie les jeunes prétendants au poste de titulaire en F1.


Seul Fittipaldi était en mesure d''inquieter Mansell et le suspense fut à son comble jusqu'au dernier virage alors que Mansell en manque d'adhérence se faisait rappeler à l'ordre dans chaque virage par un Emmerson Fittipaldi aussi fougueux qu'un jeune chien. Le recordman des participations en GP, Ricardo Patrese prenait la troisième place sur le podium,  mais la véritable bagarre se passait derriere avec

de magnifiques passes d'armes entre De Cesaris, Jan Lammers et Derek

Warwick dans les 10 derniers tours de la course qui n'en comptait que

trente.
Du coté francais, les resultats ne furent pas au rendez-vous. Un malheureux Jacques Laffite abandonnera à 5 tours de la fin après avoir percuté René Arnoux qui tentait de lui faire l'intérieur. Patrick Tambay cloture en 12ème position et constate les dégats de quelques années de commentaires et de cocktail parties, malgré un talent indéniable.

La joie et l'amitié  entre les stars de cet évènement à la fin de la course faisait chaud au coeur. Pas de pression externe, juste celle de competiteurs dans l'âme prêt à tout pour gagner. Espèrons que cette première course attirera d'autres pilotes tels que Prost, Jabouille Rosberg ou encore Piquet. Du pur bonheur.

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Mise à jour:
14/11 10h: Je m'apercois avec joie qu'Antoine, fidèle lecteur du blog auto, avait déja fait la retranscription de la course dans les commentaires hier et avec beaucoup de talent... C'est ça le blog auto, quand on est pas assez rapide, on se fait prendre au freinage par les lecteurs...

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Pour résumer

Les organisateurs de ce championnat de rêve ne nous auront pas décu. Il faut dire que le risque était faible en affichant des noms tels que Mansell, De Cesaris, Fittipaldi, Lammers, Warwick ... la liste est trop longue pour les citer tous mais les nostalgiques de la F1 des années 70/80 se seront vite rappelés ce qui rendait ces championnats si passionants. Il Leone (Nigel Mansell) affublé de son légendaire Arai aux couleurs de l'Union Jack aura dominé cette course du début à la fin malgré une bande de vieux briscards au coup de volant toujours aussi précis et une hargne à faire palir d'envie les jeunes prétendants au poste de titulaire en F1.

Christophe Labedan
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