La Formule 1 a confirmé que le Grand Prix de Monaco restera au calendrier jusqu’à la saison 2035. L’accord, signé avec l’Automobile Club de Monaco, prolonge de quatre ans le précédent contrat qui courait jusqu’en 2031.
Un tracé historique
Présent dès la première saison de Formule 1 en 1950, le circuit de Monaco s’est imposé comme l’une des épreuves les plus emblématiques du championnat. Mis à part une interruption en 2020 (pandémie Covid), la F1 l’a disputé chaque année depuis 1955. Ce tracé urbain étroit, situé au cœur de Monte-Carlo, est réputé pour son exigence technique et son absence de marge d’erreur.
Au-delà de son aspect sportif, le Grand Prix de Monaco occupe une place particulière dans l’imaginaire de la F1. Son cadre unique, la notoriété de l’événement et son attrait pour les spectateurs et les pilotes en font une étape incontournable. La prolongation du contrat pour 4 saisons de plus confirme la volonté de la discipline de maintenir ce rendez-vous à long terme.
Un calendrier réajusté
À partir de 2026, la date du Grand Prix de Monaco se trouvera décalée. Traditionnellement organisé lors du dernier week-end de mai, il aura lieu le premier week-end de juin. Cette modification vise à éviter un chevauchement avec l’Indy 500, disputée à la même période.
Une course sous observation
Le tracé monégasque suscite régulièrement des débats. Ses caractéristiques limitent les opportunités de dépassement, donnant parfois lieu à des courses jugées peu animées. Pour dynamiser l’épreuve, la Formule 1 a introduit en 2025 une règle imposant deux arrêts aux stands, qui sera reconduite en 2026. Cette année, cela n’a pas porté ses fruits niveau spectacle. C’est l’un des principaux reproches que certains font à ce Grand Prix. Espérons qu’avec le règlement 2026, les possibilités de doubler seront améliorées.
Notre avis, par leblogauto.com
Malgré ces contraintes, la prolongation du contrat jusqu’en 2035 confirme la place de Monaco comme élément central de l’identité de la F1. Cette décision illustre la volonté des organisateurs de conserver un équilibre entre circuits historiques et nouvelles destinations.
La stabilité d’une partie du calendrier de la Formule 1 permet aussi aux promoteurs de mieux préparer leurs budgets.
10 ans de course ennuyeuse à venir si rien n’est fait.
Autrefois GP le plus mythique et le plus attendu, c’est depuis une dizaine d’année je dirais le plus soporifique et le plus ennuyeux…
C’est pas compliqué il faut limiter la largeur des F1, ça profitera à Monaco et aux autres GP notamment urbains