Essai VW Eos 2.0 TDI 140 DSG : vie à bord et conclusion (3/3)
par La rédaction

Essai VW Eos 2.0 TDI 140 DSG : vie à bord et conclusion (3/3)

Après l’essai routier, il est temps de tirer quelques conclusions sur la vie à bord. Celle-ci, et c’est peu dire, m’a autant séduit que la boite DSG.

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On peut penser qu’il s’agit d’un détail, mais la première chose que l’on entend d’une voiture, c’est le bruit des portes. Celles de l’Eos annoncent tout de suite que la qualité de finition et la robustesse ont été les maîtres-mots dans la réalisation de l’Eos. Le siège électrique se règle au millimètre et offre un maintien excellent et un confort qui, à défaut d’être moelleux, est bien présent. Le coussin gonflable au niveau des lombaires est tout bonnement génial. Le système Easy Entry, électrique lui aussi, permet d’avancer le siège pour faire monter un occupant à l’arrière de l’Eos. Il n’est cependant pas plus pratique qu’un siège basculant et avançant manuellement à cause de sa lenteur. L’Eos dispose bien entendu de l’allumage automatique des projecteurs et d’un détecteur de pluie qui sont toujours appréciables. Le tableau de bord est lisible et agréable, rétro éclairé en bleu. La planche de bord intègre le GPS à écran tactile. Ce dernier, rapide et intuitif, s’avère pratique grâce à ses instructions vocales jouant sur le niveau sonore de la radio si cette dernière est en marche. Le fonctionnement global du système, qui intègre également le lecteur de CD et de DVD, l’accès au disque dur et à l’entrée auxiliaire, et donc le GPS est très fonctionnel.

Le bouton de verrouillage et déverrouillage des portes se situe à proximité de celui permettant le réglage des rétroviseurs, leur rabattement et leur dégivrage. Les quatre vitres peuvent être abaissées indépendamment ou bien toutes ensemble. Là encore, c’est bien vu. Le régulateur de vitesse prend place sur la commande des clignotants, évitant la multiplication des comodos. La console de gestion de la climatisation intègre également les commandes de chauffage des sièges. Tout est fonctionnel, bien pensé et très bien fini.

Alors au final, que faut-il retenir de cette Volkswagen Eos 2.0 TDI 140 DSG ? Et bien c’est un coupé-cabriolet qui, en plus d’avoir une ligne fort plaisante, est admirablement bien fini et présente un réel agrément dans toutes les conditions d’utilisation possibles. Son homogénéité ne peut qu’être appréciée. Il offre une boîte excellente, un moteur vigoureux, un confort très satisfaisant, une vie à bord difficilement égalable et le tout avec une esthétique réussie. La présence du toit ouvrant en plus du toit escamotable est bien pensée. Il y a bien sûr quelques petits défauts : bruits aérodynamiques légers, sensation de lourdeur dans les changements de cap un peu trop brusques, mode Sport pas forcément utile mais pas pour autant dérangeant, absence de palettes au volant… Mais c’est négligeable à côté ce que l’auto offre. Ah si, il reste une dernière chose, le prix : 36 240 € pour notre version d’essai. C’est cher, très cher, mais le risque d’être déçu est pour ainsi dire minime.

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Partie 1 : présentation

Partie 2 : sur la route

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Après l’essai routier, il est temps de tirer quelques conclusions sur la vie à bord. Celle-ci, et c’est peu dire, m’a autant séduit que la boite DSG.

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