Alors que la possibilité (très hypothétique) d'une fermeture d'un site industriel en Allemagne avait été envisagée avant la présentation du plan de restructuration d'Opel, Nick Reilly a tenu à remettre les choses au clair. vient de renoncer à toutes aides européennes, le dirigeant du constructeur au Blitz en profite aussi pour faire un (petit) point sur les conséquences sociales de cette restructuration. S'affranchir des aides des pays européens ne changera rien au plan initial.
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Alors que la possibilité (très hypothétique) d'une fermeture d'un site industriel en Allemagne avait été envisagée avant la présentation du plan de restructuration d'Opel, Nick Reilly a tenu à remettre les choses au clair. Conformément au plan final, aucune fermeture ne sera effectuée. Alors même qu'Opel vient de renoncer à toutes aides européennes, le dirigeant du constructeur au Blitz en profite aussi pour faire un (petit) point sur les conséquences sociales de cette restructuration. S'affranchir des aides des pays européens ne changera rien au plan initial.
C'est à l'occasion d'un entretien accordé au quotidien Suddeutsche Zeitung que, Nick Reilly, le président d’Opel, a déclaré qu'aucune usine de la marque ne serait fermée en Allemagne, conformément au plan d’origine, bien que le constructeur ait dû renoncer à des aides gouvernementales.
Il a également confirmé qu’Opel ne supprimerait pas plus d’emplois que prévu initialement à savoir entre 3 900 et 4 000 toujours en Allemagne (sur les quelques 8 500 du plan global). Enfin, résolument optimiste, Nick Reilly a confirmé qu’il comptait atteindre l’équilibre financier, voire dégager un bénéfice, dès l’année prochaine, précisant que ce serait difficile. En filigrane, il a aussi envisagé une implantation commerciale en Chine...
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Alors que la possibilité (très hypothétique) d'une fermeture d'un site industriel en Allemagne avait été envisagée avant la présentation du plan de restructuration d'Opel, Nick Reilly a tenu à remettre les choses au clair. vient de renoncer à toutes aides européennes, le dirigeant du constructeur au Blitz en profite aussi pour faire un (petit) point sur les conséquences sociales de cette restructuration. S'affranchir des aides des pays européens ne changera rien au plan initial.