Caterham Seven Supersprint
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par Pierre-Laurent Ribault

Caterham Seven Supersprint

Après le succès foudroyant de la Seven Sprint, dont les soixante exemplaires sont partis en une semaine, Caterham ne pouvait en rester là et nous refait le coup avec la Supersprint dévoilée à l'occasion du Goodwood Revival. Et il est à prévoir que l'histoire va se répéter, tant la nouvelle venue est séduisante.

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Après le succès foudroyant de la Seven Sprint, dont les soixante exemplaires sont partis en une semaine, Caterham ne pouvait en rester là et nous refait le coup avec la Supersprint dévoilée à l'occasion du Goodwood Revival. Et il est à prévoir que l'histoire va se répéter, tant la nouvelle venue est séduisante.

Soixante ans sur la piste

La Lotus Seven est née il y a tout juste soixante ans, et les a passés en grande partie sur la piste. La gamme actuelle se partage d'ailleurs entre des autos plutôt pour la route et plutôt pour la piste, bien que la limite soit toujours floue avec la Seven.

Le passage de la Sprint à la Supersprint était donc logique, voire obligé. Caterham joue avec les Si : "Et si Caterham existait en 1960, c'est la voiture que nous aurions conçue." Comme la Sprint, la Supersprint est basée sur la 160 et joue à fond le côté rétro, cette fois orienté vers la compétition.

Petit bolide

Les voies sont toujours étroites mais le moteur trois cylindres turbo Suzuki gagne 15 chevaux et en affiche désormais 95 (pour 470 kg environ). Le train arrière reçoit un différentiel à glissement limité et les suspensions reçoivent des amortisseurs Bilstein réglables.

Adieu les ailes avant, et place aux petits garde-boues. La grille de calandre avant devient grillagée, et le pare-brise peut laisser place en option à un petit saute-vent très années trente. L'acheteur a le choix entre une version monoplace, sans siège passager remplacé par un couvre tonneau et un arceau minimaliste, et une version biplace. La touche finale est donnée par une peinture bi-ton et des stickers pour les numéros de course. Sympathique attention, chaque combinaison de couleurs reçoit le nom d'un circuit, et autant dire qu'il n'y a pas de Tilkedrome dans la liste : Aintree, Dijon, Hockenheim, Imola, Watkins Glen, Zandvoort, que du bon !

Gentleman racer

L'intérieur n'est pas en reste. On retrouve celui de la Sprint, avec le superbe volant Moto-lita et le cuir matelassé, cette fois dans une exquise teinte fauve, et des harnais quatre points pour le gentleman racer qui prendra place au volant.

La nouveauté est une splendide manette pour démarrer, qui remplace avantageusement les boutons poussoirs modernes.

Série limitée

Comme pour la Sprint, la Supersprint sera rare. Soixante exemplaires seulement (et sans doute quelques uns de plus pour le Japon, comme pour la Sprint), qui démarrent à 29 995 Livres Sterling, auxquels il faudra rajouter un certain nombres d'options quasi-obligatoires comme toujours. Ca fait pas mal d'argent, mais les Seven ne se déprécient pas, et de toute façon, une fois que l'on passe la manette de démarrage sur "On", qui se soucie de quelques Livres Sterling de plus ou de moins...

Source et crédit images : Caterham Cars Ltd

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Pour résumer

Après le succès foudroyant de la Seven Sprint, dont les soixante exemplaires sont partis en une semaine, Caterham ne pouvait en rester là et nous refait le coup avec la Supersprint dévoilée à l'occasion du Goodwood Revival. Et il est à prévoir que l'histoire va se répéter, tant la nouvelle venue est séduisante.

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