La Nissan Leaf  n'est pas bien vieille, mais comme les appareils électroniques auxquels elle s'apparente autant qu'au monde de l'automobile, le renouvellement est rapide . Sa dernière évolution, déjà en vente au Japon et aux Etats-Unis bénéficie de retouches à de nombreux niveaux. L'autre donnée importante qui concerne cette nouvelle génération concerne sa production  : elle ne sera plus importée depuis le Japon mais viendra de l'autre côté de la Manche.

Avec un volume de 50 000 unités écoulées au niveau mondial, la Nissan Leaf peut se targuer d'être depuis son lancement l'auto électrique la plus écoulée au monde (les mauvaises langues raillent qu'au royaume des aveugles les borgnes sont rois...) Mais malgré un marché du VE qui ne décolle pas, la Leaf poursuit son parcours à son rythme.

Le constructeur rappelle ainsi que cette version revue et corrigée hérite d'une centaine de changements divers. L'autonomie est par exemple portée, en théorie, à 199 km soit en hausse de 24 km après diverses optimisations comme au niveau du cX (0,28 contre 0,29), de la ventilation et chauffage et de réduction de la consommation électrique.

De quoi faire diminuer l'angoisse de la "panne sèche" ? Elle gagne aussi des améliorations apportées au châssis, à la direction et au freinage entre réduction des frottements, réglages de suspensions, meilleure progressivité du freinage et accroissement de la quantité de récupération d’énergie. Et se veut plus "premium" à bord. Enfin, elle se veut aussi plus accessible avec une gamme repensée et un ticket d'entrée abaissé. De quoi se (re)lancer ?

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Source : Nissan.

Crédit illustrations : le blog auto.