Par rapport à la Spark qui roulait depuis près de trois ans sur nos routes (24 000 voitures vendues en France), cette nouvelle version se distingue par sa calandre à double étage, des optiques et des antibrouillards redessinés.

A l’arrière, le feu stop central à LED est intégré dans le spoiler pour améliorer la visibilité vers l’arrière. Les modifications réalisées à l’intérieur incluent de nouveaux éléments de décor, dont une finition aspect carbone en haut-de-gamme, mais également une console centrale remodelée avec davantage de rangements.

Exclusivement disponible en cinq portes, la Spark conserve ses poignées des portes arrière cachées dans le montant de custode. A l’intérieur, l’aménagement n’évolue pas. Le combiné à instruments type moto placé derrière le volant a bien du mal à convaincre.

Notre version d’essai est une LTZ, bien mieux équipée que l’entrée de gamme qui doit faire sans vitres électriques, autoradio ou climatisation.

Avec la LTZ, le moteur passe de 1,0 L. 68 chevaux à 1,2 L. 81 chevaux. Et la dotation d’équipements est également bien meilleure : climatisation, vitres avant et arrière électriques, radars de recul, jantes 15 pouces…

Lors de nos quelques kilomètres d’essais en plein Paris, la Spark LTZ était dans son élément. Avec 81 chevaux et 111 Nm pour seulement 864 kilogrammes, elle s’avère vive. La légèreté est aussi perceptible à travers la direction.

L’habitacle est clair et le grand empattement offre un espace intérieur important pour une voiture de 3,64 mètres. Un adulte peut s’installer à l’arrière sans difficulté, merci aux cinq portes. Le coffre est un peu sacrifié pour offrir cette habitabilité avec un volume utile de 170 dm3. Sur toutes les versions, la banquette arrière est rabattable pour gonfler le volume du coffre à 568 dm3.

Proposée jusqu’au 31 mars 2013 au tarif de 9 400 euros, sans obligation de reprise, la Spark LTZ est une proposition très intéressante pour une citadine compétitive.

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