Paris 2012 : Volkswagen Golf VII BlueMotion Concept
Star incontestée et incontestable sur le stand Volkswagen, la nouvelle Golf septième du nom suscitera moult attentions. Et parmi les différentes versions de la compacte vedette, on pourra retrouver la déclinaison la plu frugale alias la version BlueMotion, une déclinaison sur la septième génération qui suit la première déclinaison du genre découverte il y a cinq ans à l'occasion du salon de Genève (alors à 4,5 l/100 km et 119 g/km de CO2). Avant sa commercialisation attendue dans le courant de l'année prochaine, cette itération moins glougloutante fera ses premiers tours de roues à Paris sous le forme d'un concept évocateur (préfigurant donc à 99 % le futur dérivé de série).Oui, un concept très concret comme une certaine Golf VII GTI et donc un grand écart chez Volkswagen entre la version sport et cette déclinaison moins assoiffée de carburant. Celle-ci justement revendique avant tout des niveaux de consommation et d'émissions de CO2 les plus bas et marquant spossibles s'établissant à 3,2 l/10 km et 85 g/km de CO2, des chiffres théoriques. Dans la "guerre" à la chasse aux grammes de CO2, elle se permet de faire mieux que la nouvelle Auris la plus frugale revendiquant 89 g/km.
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Star incontestée et incontestable sur le stand Volkswagen, la nouvelle Golf septième du nom suscitera moult attentions. Et parmi les différentes versions de la compacte vedette, on pourra retrouver la déclinaison la plu frugale alias la version BlueMotion, une déclinaison sur la septième génération qui suit la première déclinaison du genre découverte il y a cinq ans à l'occasion du salon de Genève (alors à 4,5 l/100 km et 119 g/km de CO2). Avant sa commercialisation attendue dans le courant de l'année prochaine, cette itération moins glougloutante fera ses premiers tours de roues à Paris sous le forme d'un concept évocateur (préfigurant donc à 99 % le futur dérivé de série).Oui, un concept très concret comme une certaine Golf VII GTI et donc un grand écart chez Volkswagen entre la version sport et cette déclinaison moins assoiffée de carburant. Celle-ci justement revendique avant tout des niveaux de consommation et d'émissions de CO2 les plus bas et marquant spossibles s'établissant à 3,2 l/10 km et 85 g/km de CO2, des chiffres théoriques. Dans la "guerre" à la chasse aux grammes de CO2, elle se permet de faire mieux que la nouvelle Auris la plus frugale revendiquant 89 g/km.
Concrètement cette version ne recourt à aucune forme d'hybridation mais hérite du classique 1,6 l TDI, coiplé à une boîte manuelle cinq rapports, débitant 110 ch pour 250 Nm. Label BlueMotion oblige elle fait le plain de toutes les optimisations possibles pour revendiquer les niveaux déjà relayés entre son gain de poids inhérent à la nouvelle plateforme, taux de recyclage des gaz brûlés, pneus à faible résistance au roulement, réduction des frottements, catalyseur à NOx, lubrifiant spécial pour une boîte qui hérite en outre de rapports allongés, abaissement de 15 mm, nouveau petit spoiler, modifications aérodynamiques, obturation calandre, etc, etc. Elle revendique un Cx record de 0,27. La VW Golf VII BlueMotion devrait débarquer dans le courant de l'année prochaine. A voir la réaction de Greenpeace la concernant...
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Star incontestée et incontestable sur le stand Volkswagen, la nouvelle Golf septième du nom suscitera moult attentions. Et parmi les différentes versions de la compacte vedette, on pourra retrouver la déclinaison la plu frugale alias la version BlueMotion, une déclinaison sur la septième génération qui suit la première déclinaison du genre découverte il y a cinq ans à l'occasion du salon de Genève (alors à 4,5 l/100 km et 119 g/km de CO2). Avant sa commercialisation attendue dans le courant de l'année prochaine, cette itération moins glougloutante fera ses premiers tours de roues à Paris sous le forme d'un concept évocateur (préfigurant donc à 99 % le futur dérivé de série).Oui, un concept très concret comme une certaine Golf VII GTI et donc un grand écart chez Volkswagen entre la version sport et cette déclinaison moins assoiffée de carburant. Celle-ci justement revendique avant tout des niveaux de consommation et d'émissions de CO2 les plus bas et marquant spossibles s'établissant à 3,2 l/10 km et 85 g/km de CO2, des chiffres théoriques. Dans la "guerre" à la chasse aux grammes de CO2, elle se permet de faire mieux que la nouvelle Auris la plus frugale revendiquant 89 g/km.
