Face à une situation tendue, mais aussi ses liens avec l'américain Chrysler, Fiat a choisi de mettre fin à toute activité commerciale avec l'Iran. Fiat lie directement cette décision au négociations diplomatiques en cours. Un choix qui va, rappelons le, au delà des exigences des diverses sanctions internationales à l'encontre du régime de Téhéran.
Face à une situation tendue, mais aussi ses liens avec l'américain Chrysler, Fiat a décidé d'interrompre toute relation commerciale avec l'Iran. Une décision symbolique par rapport au volume généré.Suivant l'exemple de Peugeot il y a quelques mois, ou avant de Hyundai, Fiat a choisi de mettre fin à toute activité commerciale avec l'Iran. Fiat lie directement cette décision au négociations diplomatiques en cours. Un choix qui va, rappelons le, au delà des exigences des diverses sanctions internationales à l'encontre du régime de Téhéran.
A l'instar du choix de Peugeot, on ne peut éviter de faire le lien entre cette décision et les liens du groupe italien avec un groupe américain, en l’occurrence Chrysler. Fiat tempère ce choix en précisant que le volume généré était relativement faible. En fait moins de 15.000 unités par an.
Source : Fiat
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Face à une situation tendue, mais aussi ses liens avec l'américain Chrysler, Fiat a choisi de mettre fin à toute activité commerciale avec l'Iran. Fiat lie directement cette décision au négociations diplomatiques en cours. Un choix qui va, rappelons le, au delà des exigences des diverses sanctions internationales à l'encontre du régime de Téhéran.
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