1992, année à deux olympiades dont une en France à Albertville, du traité de Maastricht, de la fermeture de l’usine Renault de l’île Seguin, de la disparition de La Cinq, de l’ouverture d’Euro Disney, de Furiani, du sang contaminé et de la première Twingo. Vous êtes dans le contexte ? Et bien voici comment – à l’époque – Citroën imaginait la petite voiture du futur… Citroën Citela.
1992, année à deux olympiades dont une en France à Albertville, du traité de Maastricht, de la fermeture de l’usine Renault de l’île Seguin, de la disparition de La Cinq, de l’ouverture d’Euro Disney, de Furiani, du sang contaminé et de la première Twingo. Vous êtes dans le contexte ? Et bien voici comment – à l’époque – Citroën imaginait la petite voiture du futur… Citroën Citela.
C’était 1992 et Citroën voulait un concept de voitures électriques (si, si, déjà !) capable de transporter quatre passages sur 110 kilomètres. Qui ose dire que C-Zero est récolutionnaire ?
Revoici donc Citroën Citela, 2,96 mètres, 110 kilomètres d’autonomie et 110 km/h de vitesse de pointe.
Aviez-vous oublié Peugeot Quasar et Renault Fifty ?
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1992, année à deux olympiades dont une en France à Albertville, du traité de Maastricht, de la fermeture de l’usine Renault de l’île Seguin, de la disparition de La Cinq, de l’ouverture d’Euro Disney, de Furiani, du sang contaminé et de la première Twingo. Vous êtes dans le contexte ? Et bien voici comment – à l’époque – Citroën imaginait la petite voiture du futur… Citroën Citela.
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