A Silverstone, le pilote japonais au gros portefeuille avait pris la place de Bruno Senna dans la voiture balai du peloton de la F1 2010. Une sombre histoire de mail du pilote brésilien atterrissant par erreur dans la boîte de Colin Kolles, qui n'aurait pas trop apprécié le contenu disait-on pour justifier la chose qui paraît plus simplement liée à une histoire de gros sous. Senna n'en a pas, contrairement à Yamamoto dont les yens sont fort appréciés en une période de basses eaux pour les finances du Senor Carabante, investisseur majeur de l'ex-écurie Campos F1. A Hockenheim, rebelote, mais c'est cette fois Karun Chandhok qui laissera son baquet à Yamamoto.
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Le pilote indien, qui se comporte honorablement depuis le début de saison si l'on tient compte des moyens dont il dispose, n'aurait pas pu tenir ses promesses de sponsoring et cette fois, malgré l'amitié qui lie son père, personnalité importante du monde du sport automobile en Inde et Bernie, c'est lui qui trinque. Il a bon espoir cependant de revenir au volant en plusieurs occasions au cours de la saison avant, pourquoi pas, de chercher à se rapprocher de Force India. Chandhok, à défaut d'une voiture compétitive, est très versé dans l'utilisation des nouvelles méthodes de communication (@karunchandhok) et a su habilement se construire une base importante de fans, en Inde et ailleurs. Cela ne pourra certainement pas lui nuire au moment où s'ouvre la silly season. En attendant, cette valse des pilotes au gré des gros chèques n'est pas bon signe pour HRT qui est sensée se mettre maintenant au travail, comme tout le monde d'ailleurs, pour préparer la saison 2011...
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A Silverstone, le pilote japonais au gros portefeuille avait pris la place de Bruno Senna dans la voiture balai du peloton de la F1 2010. Une sombre histoire de mail du pilote brésilien atterrissant par erreur dans la boîte de Colin Kolles, qui n'aurait pas trop apprécié le contenu disait-on pour justifier la chose qui paraît plus simplement liée à une histoire de gros sous. Senna n'en a pas, contrairement à Yamamoto dont les yens sont fort appréciés en une période de basses eaux pour les finances du Senor Carabante, investisseur majeur de l'ex-écurie Campos F1. A Hockenheim, rebelote, mais c'est cette fois Karun Chandhok qui laissera son baquet à Yamamoto.
