Essai Maserati GranCabrio : Che bella macchina ! (1/3)
par Nicolas Morlet

Essai Maserati GranCabrio : Che bella macchina ! (1/3)

De tous temps, l’Automobile italienne a été saluée pour l’élégance et la finesse de son design. Une valeur que semble retrouver peu à peu les marques qui s’en étaient éloignées, pour le plus grand plaisir des amoureux de belles voitures. Une marque n’a cependant jamais bafoué ses traits latins : Maserati. Et ce n’est pas la dernière création de la prestigieuse Maison italienne qui me fera mentir, tant la robe de cette GranCabrio se fait soignée et désirable.

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Même si l’allure des Maserati a un temps cédé au traits anguleux, répondant aux canons de beauté bien de leurs époques dans les années 70 à 90, les voitures de la marque au Trident gardaient toujours une sorte d’élégance naturelle et de finesse que devaient leur envier beaucoup de concurrents. Et le retour aux traits galbés, faits de courbes sensuelles généreuses ne les rendent que plus désirables. Une tendance revenue avec la 3200 GT en 1998 et ses fameux feux arrière en boomerang, que la législation américaine aura vite fait de faire changer au profit de blocs plus consensuels. Un changement par lequel l’auto perdra son «3200» pour ne retenir que le pseudonyme de GT.

La GranTurismo, apparue en 2007, faisait encore battre un peu plus vite le cœur des afficionados de la marque et de tous les amoureux de l’Automobile au sens noble du terme. Avec la GranCabrio apparue en toute fin d’année dernière, l’excitation est à son paroxysme.

Il faut dire que plus encore que le coupé duquel il est dérivé, le cabriolet sait se faire désirer. On retrouve les flancs musclés du coupé, percé des trois écopes latérales, tout comme les yeux de biche et la grande «bouche» ornée du trident en guise de piercing. Mais cette capote en toile semble encore sublimer les traits de la GranTurismo. Et lorsque 28 secondes plus tard, la belle a tombé le haut, le spectacle n’en est que magnifié ! Les designers sont parvenus à conserver tout l’équilibre des lignes du coupé, voire même, à les rendre encore plus séduisantes, exercice difficile s’il en est.

Le GranCabrio marque une rupture avec les précédentes générations de cabriolets de Maserati. En effet, jusque là, les versions découvrables étaient construites sur une base de coupé raccourcie de quelques centimètres  de manière à leur conférer un comportement routier plus joueur encore que leurs sœurs fermées. Des modifications techniques qui imposaient une amputation des deux places arrière, les transformant en roadster. Ce n’est donc pas un hasard si le nouveau cabriolet de la marque délaisse l’appellation Spyder au profit de GranCabrio puisque dans le cas présent, l’encombrement est sensiblement identique à celui du coupé et les deux (vraies) places arrière sont conservées.

Et pour encore exacerber un peu plus l’attraction visuelle de la GranCabrio, elle est la plus personnalisable des Maserati. Les quatorze teintes extérieures proposées peuvent ainsi être couplées à huit coloris de capote, quatre dessins de jantes et six couleurs d’étriers de freins. Une personnalisation poussée qui se prolonge une fois à l’intérieur…

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Pour résumer

De tous temps, l’Automobile italienne a été saluée pour l’élégance et la finesse de son design. Une valeur que semble retrouver peu à peu les marques qui s’en étaient éloignées, pour le plus grand plaisir des amoureux de belles voitures. Une marque n’a cependant jamais bafoué ses traits latins : Maserati. Et ce n’est pas la dernière création de la prestigieuse Maison italienne qui me fera mentir, tant la robe de cette GranCabrio se fait soignée et désirable.

Nicolas Morlet
Rédacteur
Nicolas Morlet

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